Dans cet article, un petit point sur ce qui empêche l’énergie de circuler, et bizarrement, la bouffe y est pour beaucoup. D’ailleurs le jeûne est une pratique qu’on retrouve dans toutes les religions, et ce n’est pas un hasard. Dès qu’on jeûne, on connecte.
Explications.
La bouffe inflammatoire, c’est quoi ?
La bouffe inflammatoire, ça veut dire que le corps, les tissus, le microbiote, subissent une agression avec certains aliments, quotidiennement et sans que l’on s’en rende compte.
Face à ces aliments, le système immunitaire (le “nuage de cytokines” dont on parlait pendant le COVID et qui créé l’inflammation du corps) s’emballe un peu ou beaucoup, et l’inflammation démarre. Souvent, on ne le sent pas dans l’instant. Mais à force d’inflammations, tous les jours, pendant des années, les tissus s’abîment, les organes disjonctent, des maladies chroniques inflammatoires s’installent.
Les maladies inflammatoires commencent de plus en plus tôt et s’étendent de plus en plus dans la population. La médecine est inquiète mais démunie parce que le changement passe par un changement d’alimentation total et non par les anti-inflammatoires. Mais c’est un changement qui paraît impossible pour l’instant sur le plan sociétal et à l’échelle des individus souvent (tant qu’ils ne souffrent pas trop). Alors malgré les bouquins de médecins alarmistes sur le sujet, on en reste pour l’instant aux anti-inflammatoires. Mais ils ne suffisent pas.
Bref. Que génèrent les aliments inflammatoires dans le corps ?
Les maladies chroniques
Nous avions avant un long délai pour être concerné par Alzheimer, Parkinson ou l’arthrose/l’arthrite, des maladies qui arrivent avec la vieillesse. A force d’alimentation inflammatoire, on a pu faire baisser l’âge des réactions jusqu’au adolescents, et parfois les enfants. Cela permet donc à tous les âges d’accéder à cette expérience passionnante de la maladie inflammatoire chronique : endométriose, fibromyalgie, sclérose en plaque, diabète, Maladie de Crohn et Syndrôme du côlon irritable, arthrite, etc.
Le mal-être psychique
Il y a un effet psychique à l’inflammation qui a été longtemps ignoré et que la médecine découvre à présent, sans trop en évaluer encore l’ampleur. dépression, symptômes autistiques, hypersensibilité émotionnelle, anxiété. L’inflammation du corps serait la ou une des premières causes, même si on peut supposer que d’autres facteurs interviennent quand même (environnement familial, social, nature sensible, etc).. De fait, on constate que manger non-inflammatoire a un effet sur la façon de se sentir émotionnellement, relationnellement vers les autres, et même existentiellement. En clair, de façon assez curieuse, l’inflammation du corps peut empêcher le bien-être psychique.
Le vieillissement prématuré
Quand le microbiote est en dysbiose et l’intestin inflammatoire (c’est la spécialité du gluten qui attaque les villosités intestinales), les nutriments que le corps à l’habitude de récupérer pour réparer la peau, nettoyer les toxines, générer de l’énergie, produire les hormones dont nous avons besoin (en particulier la sérotonine et l’ocytocine pour se sentir bien et animé) ne sont plus correctement assimilés. Au bout d’un moment, nous devenons anxieux, nous dormons mal, la peau se ternit, nous sommes fatigués, stressés. Bref, notre problème d’absorption des nutriments finit par en avoir raison de notre capital. On pense souvent que c’est normal de vieillir comme nous vieillissons en Occident. Mais j’en parierais pas mon chapeau.
L’effet psychique de l’inflammation – Hypothèse
Essentiellement, je me permets une explication qui vient de ce que je ressens dans mon corps, quand je sens les symptômes autistiques arrivent, et ils arrivent par le plexus.
Quand je suis « inflammée » et je le sens à présent très vite après avoir ingéré l’aliment, je sens que l’énergie bloque dans mon plexus. Je le sens clairement depuis quelques mois car mon ressenti énergétique est devenu très fin. Mais je pense avoir cet effet depuis l’adolescence. Sauf que je n’étais pas capable de ressentir ce qui se passait.
Bref, donc l’énergie est bloquée dans mon corps. Et comme j’en ai beaucoup, et qu’elle est faite pour circuler, et surtout pour remonter (je ne reviens pas sur le rôle de l’énergie dans notre corps, autant mourir si elle ne circule pas), elle se stocke au milieu et s’accumule douloureusement. Là c’est un ressenti énergétique. Mais les manifestations plus évidentes sont les suivantes : je commence alors à avoir de la fébrilité, de l’anxiété et ces effet d’autisme social, relationnel.
Sur le plan autistique, ça paraît assez logique. Comme nous sommes tous interconnectés, nous ressentons l’énergie des autres, surtout quand on est hypersensible parce que notre énergie est bien là et veut se connecter aux autres. L’énergie va donc chercher l’énergie de l’autre. Elle se branche. C’est comme ça, elle cherche la résonnance, une vibration similaire à la sienne. Ainsi, dans l’interaction, nous vivons (sans le savoir) des boucles d’énergie avec les autres en permanence. On ne s’en rend pas compte mais c’est ainsi. C’est comme le sexe mais en mode plus subtil. C’est plutôt agréable quand ça se passe bien, c’est pour ça que ça fait du bien de voir du monde et d’interagir. Mais ça ne se passe pas toujours bien.
En mode inflammé, l’énergie de l’autre vient rejoindre notre boule douloureuse. Elle se rajoute à l’accumulation, et toutes les infos de cette énergie, au lieu de se libérer dans la joyeuse boucle qui nous relie de la terre au ciel, dans notre humanité, restent à mijoter là-dedans. On appelle ça l’effet de porosité et ça provoque angoisses, malaise relationnel, anxiété sociale, peur, paranoïa même.
C’est d’autant plus notable quand cette boule accumulée est connectée au mental (ce qui n’est pas toujours le cas, et alors ça reste une sensation physique / énergétique désagréable, pas plus). Quand l’accumulation est stoppée par l’inflammation et que le mental vient par là-dessus (les pensées, les injonctions, etc), l’angoisse devient nettement plus forte. La panique peut même intervenir;
Il y a des tests intéressants pour voir si on subit un effet inflammatoire : manger de l’ail cru (oui c’est désagréable, avec un peu de miel peut être) car c’est très anti-inflammatoire et voir comment on se sent ensuite. Boire des jus de légumes pendant deux jours. Jeûner aussi, évidemment. Ou une bonne séance de cryothérapie (ou une douche bien froide 5 mn). Ou une bonne purge (verveine, sureau, ricin). On sent alors souvent un espace se créé dans le corps et les choses passent soudain sans s’accrocher. Les émotions sont bien là, mais elles passent. Parfois la vision s’éclaircit aussi. Et c’est normal, puisque l’énergie passe vers le haut, notre conscience est alimentée, nous sommes plus conscients. Bref, l’énergie circule.
Accessoirement, il y a des explications beaucoup plus scientifiques et techniques sur ce rapport entre inflammations et effets psychiques dont celui des nutriments non absorbés, mais c’est à découvrir par soi-même (j’ai mis quelques articles ci-dessous). Mon interprétation est basée sur le ressenti dans le corps, mais il y a sans doute pleins d’autres effets qui m’échappent.
Anti-inflammatoires : compléments alimentaires et aliments
Prendre des compléments alimentaires dans ces cas là ne fonctionne pas hyper bien parce que notre intestin est incapable d’absorber ce dont il a besoin. Aliments ou compléments, ça n’absorbe pas comme ça devrait.
Les aliments anti-inflammatoires sont une bonne idée aussi, mais tout comme un bon jus de fruit ne nous empêchera pas de vomir si on a mangé un produit avarié, l’anti c’est sympa, mais empêcher directement l’inflammation, c’est mieux. J’ai ainsi pris de l’ail cru pendant un an quand je craquais sur du fromage, mais ça ne vaut pas un arrêt… et c’est mieux pour les amis et la famille.
Colmater ou stopper ?
Il n’y a pas vraiment d’issue à long terme en ajoutant quoique ce soit, compléments, médicaments ou aliments, en tout cas pour arrêter l’inflammation à la source. La seule issue est d’arrêter d’apporter au corps des aliments qui font réagir le système immunitaire. Et pas trop tard, car plus on continue l’inflammatoire, plus le corps réagira de façon large. En effet, la réactivité peut s’étendre progressivement. Tout comme quelqu’un ayant un terrain déjà inflammatoire va devenir super inflammé en chopant le COVID (fatigue, mal partout, dessèchement, myocardite, arthrite, un condensé un peu de la plupart de nos maladies inflammatoires en quelques jours/semaines). Nous ne sommes pas tous à égalité.
On note que la médecine, les articles nous parlent de tout un ensemble de choses à arrêter / faire. Mais d’expérience, il s’avère que changer complètement de régime alimentaire est quand même la seule chose à faire qui fonctionne vraiment. C’est le plus pénible (croit-on) donc on essaye de l’enrober avec d’autres pistes : arrêter le stress, se reposer, prendre des compléments, faire du sport, etc. Mais c’est la seule. Ca peut paraître lourd, et ça peut mettre du temps à s’installer. Mais ça fait partie de l’expérience. Notre mental n’aime pas toujours le changement et il se sent accablé tellement facilement !! C’est une bataille entre un confort, celui de l’alimentation automatique, et la souffrance du corps (jusqu’où il doit m’alerter pour que je bouge mes fesses ?). Il m’a fallu plusieurs années avant d’arrêter complètement gluten, céréales à lectines et laitages. Un jour, c’est devenu un non-sujet. Une brioche ? Heu non… C’est bizarre, je ne calcule même plus les produits à gluten, je ne les vois pas. Ils ne me dégoutent pas. Mais quelque chose en moi dit un truc : faites-vous plaiz mais sans moi. Je n’ai pas le même détachement sur les céréales. Mais tout le monde n’est pas appelé à arrêter les céréales. Tout est à tester en tout cas.
Que faudrait-il bouffer ?
Je renvoie à quelques livres de médecins français ou américains spécialistes sur le sujet : Dr Gundry aux USA, Catherine Serfaty-Lacrosnière, William Berrebi et bien sûr le plus connu, Jean Seignalet dans les années 80 (qui lui à l’époque a eu – comme d’habitude – une marée de critiques et dénigrements qui lui sont tombés dessus à l’époque, il fait pas bon être précurseur en France !!) et tous ceux qui ne sont pas médecins, mais globalement, ça revient à ne plus manger de :
- gluten, donc de blé
- lactose et caséine donc de laitages
- Les produits industriels avec additif, conservateur ou colorants non naturels, donc pizzas et truc machins
- Et de façon plus poussée selon le stage inflammatoire : les céréales (à lectines), ce qui en laisse quelques unes malgré tout
- Puis le spectre peut s’élargir à d’autres aliments, mais de façon réactive : oeufs, etc. Mais c’est la base.
Ces aliments, les céréales, le gluten de blé (du blé de maintenant), le lait de vache (des vaches de maintenant), vous l’avez compris, ne sont pas les aliments d’origine de l’humain chasseur/cueilleur, et nous ne sommes pas tous à égalité face à cette « nouvelle » alimentation. Ainsi je réagis depuis longtemps (sans le savoir), et l’ampleur a augmenté avec mon éveil de Kundalini en 2018 (forcément, l’énergie pousse). Mais ma mère peut ainsi manger éternellement du gluten, des yaourts, à 82 ans, sans aucun effet. D’ailleurs le COVID ne lui a rien fait, et de mon côté, j’ai eu les symptomes de toutes les maladies auto-immunes sur 3 mois. J’en ai sorti la forte impression qu’il se jouait quelque chose entre ces maladies et le micro-biote, mais je n’avais pas encore mis de sens sur le système de l’inflammation.
Bref. Nous ne sommes pas à tous à égalité.
Pourquoi ces aliments là ?
Ce sont toutes des protéines qui servent d’anti-nutriments pour les céréales. Elles ne sont pas adaptées “naturellement” à l’intestin humain qui est fait pour manger fruits, légumes, viande, poisson, noix, et peu/pas de céréales. En tout cas, des céréales à lectines à fortes doses (certaines sont plus douces, comme le sarrasin, le riz blanc, le millet). Les aliments modifiés par l’homme, génétiquement ou même par croisements sont plus impactants que les autres. Le gluten depuis la modification du blé ancien en labo mexicain dans les années 50 (voire l’incroyable documentaire d’Arte sur le sujet) est beaucoup plus inflammatoire. Le lait des vaches du Nord de l’Europe, fortement croisées, est plus inflammatoire que le lait des vaches du sud (moins croisées). Une histoire de caséine 1 vs caséine 2. Le soja ou le mais OGM sont plus inflammatoires aussi. Enfin peu importe, dès que l’homme met son nez dans un truc de la nature, ça sent l’embrouille à plus ou moins long terme…
Il est intéressant de voir qu’à partir du moment où le nomadisme et la chasse/cueillette s’arrêtent pour passer à une agriculture sédentaire basée sur les céréales, les anthropologues commencent à découvrir déjà des squelettes beaucoup moins reluisants que ceux du paléolithique, en tout cas en Europe : des dents pourris (la carie n’existe même pas au paléo !), de l’arthrite dans les os, des problèmes osseux, articulaires, des squelettes plus petits, plus râblés, des maladies plus nombreuses, bref, c’est la merde. Les squelettes asiatiques et amérindiens ne présentent pas les mêmes caractéristiques car ils ne cultivent pas de blé (donc pas de gluten), et ne mangent pas de laitages (faute d’animaux adaptés en Amérique, et par usage en Asie).
Bon, évidemment, ce n’est pas non plus la même chose de courir toute la journée dans la nature, et de rester courbé à faire le même geste tous les jours que le Bon Dieu fait (sans compter que l’agriculture oblige à travailler TOUTE la journée, la chasse non – c’est pour ça qu’on voit toujours les tribus de peuples chasseurs à rien faire, ils ont le temps). Et puis il y a aussi l’énorme restriction alimentaire qui s’est ensuivie puisque les hommes se sont limités à manger ce qu’ils produisaient, ce qui n’a rien à voir avec l’étendue de la gamme sauvage. Enfin on sait que la proximité avec les animaux a amené aussi de nouvelles maladies. Mais comme le dit Antoine Béchamp et sur la fin de sa vie, Pasteur qui avait une fixette toute sa vie sur les microbes, entraînant la médecine sur son sillage, et encore maintenant (c’était un bon communiquant, alors que Béchamp braquait – et oourtant l’histoire finit toujours par donner raison à celui qui paraissait trop fou), bref, comme le dit Béchamp, ce qui compte, c’est le terrain, le terrain, le terrain.
Et il commence à devenir inflammé. Rien à voir avec nous, mais ça commence.
Il y a aussi dans les inflammations, une notion de saturation, sans doute lié à notre habitude à manger trop les mêmes aliments. Certains aliments semblent ainsi devenir inflammatoires à partir d’une certaine saturation du corps. Si on arrête tel aliment auquel on est intolérant, il n’est pas impossible de pouvoir en remanger plus tard. J’ai cet effet par exemple sur des céréales. De façon très espacées, je peux en manger certaines. Mais ça ne marche jamais avec le gluten et le lait de vache, l’effet est toujours immédiat.
Le test
Changer d’alimentation, ça paraît l’enfer tant qu’on ne souffre pas assez. Quand on est bien malade, c’est plus simple, on est plus motivé – quoique, tellement de gens malades s’en remettent aux médocs inflammatoires prescrits par leur médecin qui ne sait pas quoi faire d’autre (il peut pas tout savoir, et s’il le sait, osera t-il le dire ?) et finiront leur vie comme ça… Même la souffrance psychique peut ne pas suffire à nous sortir du confort de l’automatisme. Il y a tellement de parts résistantes en nous et dont les priorités ne sont pas celles de notre conscient…
Quand on a des symptômes légers, comme de l’anxiété, un mal-être, ou des problèmes d’intestins ou de fatigues, d’insomnies ou de douleurs articulaires, le mieux, avant de s’emmerder à faire un régime, c’est de faire un test 2 ou 3 jours. En mode, j’arrête toute consommation inflammatoire pendant 2 jours, et je vois ce qui se passe.
Le test idéal serait en mode Gundry selon moi, c’est à dire :
- arrêt des céréales (sauf millet, riz blanc) et des légumineuses
- arrêt des laitages
- arrêt bien sûr de tout ce qui est à base de blé
- Et idéalement, parce que ces légumes ont des grains à lectines : les fruits et légumes originaires d’Amérique et à graines (tomates, courges, poivrons, concombres).
Donc ça donne pendant 2 jours qu’on peut consommer :
- Fruits et légumes
- viande et poisson
- riz blanc, sarrasin, millet, voir même maïs, soja (mais bof)
- lait de millet, lait de riz, lait de coco
- huiles et noix
Dans un autre monde comme dirait ma fille, on peut avoir le sarrasin, le maïs et le soja qui sautent, voire même le riz. Ca a été mon cas plusieurs mois car j’étais devenue intolérante à tout ça (je pourrais enlever le « ça »). Mais à présent, tant que je maintiens la consommation irrégulière, les intolérances ne reviennent pas (le blanc est mon ami).
A partir du 2ème jour, voir comment on se sent : psychiquement, émotionnellement, corporellement, et si on ne sait pas trop, essayer de pousser sur un 3ème jour.
Personnellement, il a fallu que j’arrête TOUT ça pour que les inflammations s’arrêtent, et donc les symptomes avec, essentiellement de l’anxiété et des symptômes autistiques relationnels. Pour le gluten, j’avais des effets fortement dépressifs après 1 à 2 jours suivant l’ingestion, donc des effets plus à retardement mais très impactants. Et 1 milligramme suffisait.
IL faut savoir aussi que le corps développe une addiction au poison. La clop, le gluten, l’alcool, le sucre. C’est curieux mais l’effet est net pour certains produits, on les arrête, on devrait se sentir mieux, on se sent en manque. J’ai eu cette expérience avec l’arrêt du gluten. Donc si le corps demande le poison, ne soyez pas surpris. Allez faire une balade, faites diversion !
Pour les plus courageux, on peut faire le test en jus de légumes, avec extracteur. Mais c’est vraiment pour ceux qui ne ressentent aucun soulagement.
Et après le test ?
Les régimes anti-inflammatoires pullulent : le cru, le cétogène, le Seignalet, le Paélo, le Gundry (le bon pour moi). A chacun de trouver le sien. Il faut ensuite se mettre aux ingrédients adaptés (sarrasin, millet, farine de riz, de manioc, de millet) et se mettre à cuisiner un peu plus. On dépense moins en ville, on trimballe ses trucs (moi mes crêpes maison ayurvédiques), on mange beaucoup plus de fruits et noix, et finalement, on est bien comme ça, on perd du poids aussi souvent. Et la peau devient beaucoup plus nickel. J’ai eu personnellement l’impression de rajeunir (un peu) en fait. J’ai des cheveux blancs qui se sont « reteintés » (je savais pas que c’était possible).
Voilà pour tout ce sujet !
Ressources
Dépression : le rôle clé de la neuro-inflammation – Institut Pasteur – 2021
Trouble du spectre de l’autisme : des dysfonctions immunitaires impliquées dans la maladie ? Fondation Recherche médicale – 30 mars 2020.
La piste immunologique fortement suspectée dans la survenue des troubles du spectre de l’autisme – Fondation fondamentale – 30 août 2019.
Microbiote : des facteurs communs dans l’intestin associés à la dépression et au trouble bipolaire – Santé Magazine – Septembre 2020
Pourquoi les lectines sont parfois considérées comme toxiques – La nutrition – Février 2021