La découverte de l’hypersensibilité – Dialogue
Tu découvres ton hypersensibilité. Que vas-tu en faire ? Vas-tu plonger dans ton intérieur et entrer en quête de toi, ou continuer à survoler la vie sans la comprendre et souffrir ? Invitation.
Dans cette version chronologique de mon blog, de 2018 à maintenant, je partage mes expériences et prises de conscience autour de l’hypersensibilité, de façon, vous le verrez, assez existentielle. On peut aussi lire les derniers textes du blog ici.
Tu découvres ton hypersensibilité. Que vas-tu en faire ? Vas-tu plonger dans ton intérieur et entrer en quête de toi, ou continuer à survoler la vie sans la comprendre et souffrir ? Invitation.
Celui qui voudrait que tout le monde s’aime mais qui s’efface pour survivre. Son enjeu : va t-il enfin pouvoir être lui-même un jour ?!
Etes-vous un hypersensible dur ? Votre profil : fortes émotions, peu adapté, en réaction, une intelligence vive, mais un contrôle qui rend fou et isole. E manque de reconnaissance, en quête de vérité.
Les émotions sont la seule façon qu’a trouvé notre moi profond pour communiquer avec nous. Il est beaucoup moins rapide et réactif que le mental… mais beaucoup plus profond et intéressant. Hélas, c’est celui ci qu’on contrôle.
Comment le double bind permanent de notre société nous fait douter de notre ressenti depuis l’enfance et nous enlève notre pouvoir.
Ne pas accorder crédit à nos perceptions, à nos ressentis, est extrêmement douloureux. Nous croyons avoir un problème, nous percevons juste quelque chose d’exact… que nous nous empressons de nier pour 10 000 bonnes raisons. Hélas, si nous sommes hypersensibles, la négation nous tue.
L’hypersensibilité n’est pas une nature. C’est une réaction à l’agression extérieure. Et l’extérieur est subi car on lui donne crédit. Regarder la réalité en face et enlevez votre crédit, votre hyper s’arrêtera. Vous resterez humain et cette fois, vous serez vivant.
Vendre moins que ce que l’on peut, ne pas affirmez sa valeur et le proposer à ceux qui n’en veulent pas ou ne sauront pas l’apprécier. La recette magique de l’entrepreneur hypersensible.
Pourquoi le contrôle amène la souffrance ? Pourquoi contrôlons-nous ? Le malentendu d’origine entre nous et le monde et comment redonner à crédit à ce que dit notre intérieur.
Comment la pratique du mantra Nam Myo Ho Renge Kio a changé ma perception des choses et donc ma vie. Comment elle m’a amenée de la conscience.
La pratique méditative emmerde 80 % de la population, et c’est normal, il est impossible de s’immobiliser si on ne décode pas d’accueillir l’énergie intérieure en même temps. Il faut donc libérer l’énergie. Donc l’autoriser. Et c’est là que ça devient compliqué !!
La méditation peut faire le taf de libération, chaque jour. Mais il y a 3 ingrédients. : énergétique, compassion et patience.
En quoi notre posture vis à vis de nos expériences de vie nous empêche d’en tirer la substantifique moelle et de vivre la vie à laquelle on aspire…
Ou comment les situations récurrentes qui nous plombent ne sont pas tant amenées par la malchance (ça on le savait) mais par notre incapacité à leur dire non. Et comment cette incapacité se cristallise dans une émotion originelle non libérée.
L’action mécanique n’a qu’un effet à court terme. L’énergie de la vibration a une effet à long terme. La vibration s’installe dans le vide. La résolution d’une situation passe donc plus par le vide que par l’action. La voie est là.
Dans cet article, je parle de notre besoin vibratoire, et ce que ça nous fait, quand l’énergie ne rencontre pas l’énergie. Adulte, et enfant. De la folie de cette frustration. Et de ce que l’on peut en faire.
Pourquoi sommes-nous hypersensible ? Comment entendre ce que raconte le moi profond ? La force de la présence est la première marche pour accéder à ce moi profond qui ne nous laissera pas tranquille tant qu’on ne l’écoute pas. L’égo, le mental est notre première ligne de front !
Pourquoi on n’arrive pas à faire le pas et à vraiment travailler sur soi ? Parce qu’on attend que la situation nous amène ce à quoi on a droit. Au fond de nous, nous avons un profond sentiment d’injustice et l’exigence que ce qui nous manque devrait nous être donné : le sommeil, l’attention, la reconnaissance, le bonheur. Or ça ne marche pas comme ça.
Offrir ses services à l’extérieur, c’est offrir une forme d’intensité qui nous confronte à nos peurs de ne pas être accueilli. Nous l’avons déjà vécu enfant, ou ado, et cette douleur là nécessite du temps pour nous confronter… puis passer. Avons-nous la patience d’en voir l’énergie se dissoudre ou exigeons-nous un résultat immédiat ? C’est le sujet de cet article.
Comment nous nous soumettons à l’implicite de l’autre, justement parce que c’est implicite, et parce que nous sommes en attente de l’autre. Comment se faisant, nous répétons un schéma déjà vécu dans l’enfance, comme une empreinte laissée en nous.
Oser être soi, c’est aussi accepter cette part en soi que l’on nie souvent, surtout quand on est hypersensible, qui n’est pas forcément sympa, qui peut gueuler, qui peut lâcher les nerfs, qui peut juger, mais qui parle, enfin, de nos limites !
Oser être soi, c’est pouvoir dire non quand on le sent. Or nous sommes bourrés d’injonctions et de croyance vis à vis de nous et des autres qui nous font aller à contre-courant de l’énergie. Une seule rège prévaut : l’énergie doit circuler. C’est là où l’univers vous le rendra.
La peur de soi, c’est la peur d’aller en soi : rencontrer le vide, s’effondrer, découvrir la noirceur. Les 3 sont ok. Le vide n’est que transitoire, l’effondrement n’aura pas lieu, et la noirceur n’est que la manifestation d’une tristesse non accueillie. Tout est parfait.
Faut-il écouter nos ressentis ? Quand leur faire confiance ? Comment se manifestent-ils ? L’espace du ressenti est dans l’observation de la résistance. Car c’est son effet délétère que nous captons en premier.
Nous espérons pouvoir obtenir le juste bien. Être juste bien, avec les bons amis, le bon boulot, la bonne personne. Mais est-ce atteignable ? Et en face, il y a la quête d’exactitude avec soi. Beaucoup plus challengeante. Qui nous met face à nos peurs. Plus vibrante aussi. Qu’est ce qui nous arrête ?
Nous avons plusieurs parts en nous, et ces parts ont leurs propres histoires, leurs propres fantasmes, et leur blessure bien à elles. Elles s’activent quand une situation nous met en écho avec la blessure. Nous les refoulons ou nous identifions à elles. Et dans un cas comme dans l’autre, nous les subissons. Or, elles ne demandent qu’une chose : un espace d’expression.
Comment les pratiques qui nous font monter en vibration empêchent de fait la libération émotionnelle ? Comment combiner les deux ?
L’appel intérieur est un appel d’exactitude avec soi et avec les autres. Une envie de transparence, de sortir de l’illusion, et d’être en connexion avec les autres de cette façon : pas en gérant une image mais en étant soi, pleinement, sans être dupe de nos parts intérieures qui demandent à se libérer. C’est l’idée d’un lieu de compagnonnage…
Quand le mental prend le pouvoir ; comment le reconnaître quand il est aux manettes et comment sortir de son champ énergétique aliment par le corps de souffrance.
Dans cet article, je parle d’un sujet totalement anecdotique : pourquoi il y a des lecteurs qui aiment me lire, et d’autres qui trouvent que ce que j’écris a une forme un peu prétentieuse. Je l’ai dit, c’est un sujet con, mais intéressant. Car à la fin, la question devient : y a-t-il vraiment un…
Une expérience de goûter collectif, un moment un peu malaisant, et quelques réflexions sur comment être bien ensemble.
Dans cette partie 2, je parle de cette nourriture relationnelle à laquelle on peut prendre tant de plaisir, qui est si rare parfois, de quand elle se donne et de quand elle se donne pas. Je parle en particulier de la double brique idéale pour que cette discussion « miraculeuse » ait lieu : la quête de vérité et l’écoute du ressenti, ce que l’on pourrait appeler le « crédit à la source intérieure ». Alors, à ce moment là, nous sommes en transe intérieure…
Cet article est un article d’abord écrit sous le coup de l’émotion, comme souvent, puis repris plus tard, pour mettre un peu plus de conscience. En résumé, alors que je reviens d’un weekend en festival chamanique plutôt sympa, je me surprend à ressentir une bonne colère le lendemain. Le texte est cette mise à plat.…
Le miracle du covoiturage, ou quels sont les ingrédients qui permettent ces conversations surprenants, fluides et souvent si nourrissantes ? Analyse de ce qui nous facilite l’interaction à l’autre, pour nous humains. Et surtout français.
L’expérience de la diète chamanique, le pouvoir de la plante diétée, de l’isolement, et la difficulté pour l’occidental à libérer ce qui doit être libéré tant que le mental n’a pas été désactivé par la présence et l’attention.
Pourquoi nous sentons-nous mal avec certaines personnes ? Comment savoir quand il y a une toxicité ? Qu’est ce qui se joue entre moi et l’autre ? Quoi en fair
Mon approche thérapeutique dans l’accompagnement individuel : pourquoi faire passer la libération énergétique ou émotionnelle par le conscient me paraît important, comment le mental doit s’écarter suffisamment pour ce faire, comment le sécuriser, et comment procèdent les différentes thérapies existantes ?
Dans cet article, je parle de la douleur que cela peut être de ne pas être accueilli(e) quand on est en contraction, en tension émotionnelle, et comment cet écho de non accueil peut résonner tout au long de notre vie. Le non-accueil transforme ce qui relevait d’un état d’âme passager et nécessaire en mal-être exponentiel.…
Dans ce lieu, ce que tu es est pleinement accueilli. Tu sais que tu as du mental, qu’il va bouriner un peu, te raconter des histoires, te mettre en posture vis à vis des autres, mais c’est ok parce que quand tu viens, tu n’es pas dupe de ton mental.
Un petit partage de réflexions suite à la conférence « l’hypersensibilité est-elle une manifestation d’humanité ou une fragilité ?« . [toc] Le postulat Notre civilisation crée notre mal-être. Nul besoin de tergiverser sur cette évidence (dont j’ai déjà beaucoup parlée). Elle ne nourrit pas nos besoins essentiels d’humains et nous fait tomber « malades » de nous-mêmes,…
J’ai envie depuis longtemps de créer un groupe de personnes en quête de soi et d’alternative à la matrice. Pour vivre les choses un peu différemment, avec plus de conscience, plus de clarté, plus d’exactitude.
J’ai participé il y a quelques temps à une chantier participatif. En fin de matinée, après une discussion avec une personne, j’ai eu une attaque de panique. Une montée d’angoisse qui m’a fait contacter une part de moi que j’avais oubliée, ou plutôt que je subissais tellement quand elle montait, que je ne l’avais jamais observée. Je m’y identifiais totalement.
J’ai tenté d’accompagner un homme, il y a quelques temps, en grande difficulté physique et psychologique. Il ne dormait plus depuis 9 mois, il était sous antidépresseurs et benzodiazépines, et malgré les médicaments, malgré les somnifères, ses nuits se réduisaient à rien. Il était épuisé.
Dans ce petit texte, je voulais partager une peur que j’ai rencontrée au détour de mes animations collectives, en particulier quand elles sont faites avec des personnes que je connais. Elle est fugace, profonde, rare… mais elle est surprenante et bel et bien présente dans ma structure de souffrance. C’est la peur d’être encensée puis bashée ensuite.
Nous avons des besoins. Il y a ceux que l’on croit devoir remplir pour être heureux. Et ceux qui nous nourrissent vraiment et durablement. Les premiers sont matriciels. Les autres sont essentiels à l’humain… mais pourtant peu conscientisés, et surtout peu soutenus par notre société : le besoin de sens, le besoin d’écoute, d’accueil, de présence, de vibration, de passion, d’énergie circulante.
Il y a quelques temps, après deux mois d’un étrange sentiment d’unité que je n’avais jamais connu, je me suis vue chuter. Une résistance s’est installée en moi, en quelques jours, une forme d’atonie d’abord, comme une non-sensibilité, puis ensuite une angoisse diffuse que je n’arrivais pas à libérer. Je m’installais pourtant chaque matin pour…
J’ai accompagné K. il y a quelques temps. K. est quelqu’un de très posée, clairvoyante et tolérante. Elle est sage. Mais en vérité, elle est souvent en effort parce qu’elle ravale. Elle ravale et ne se met pas en colère. Elle tient bon. Sa colère n’est pas palpable. Ce n’est pas comme la peur que…
3 cérémonies chamaniques avec l’aide d’une plante, et les découverte subséquentes : nous sommes un, le mental est une pieuvre, l’amour est partout.
J’ai suivi une formation sur la kundalini* en août. Moi qui croyais en avoir bien compris les éléments, j’ai réalisé que je n’avais pas saisi l’essentiel. Dans les jours qui ont suivi, j’ai réalisé que la kundalini était le point d’ancrage autour duquel je tournais depuis 5 ans en accompagnement et depuis 50 ans sans doute sur le plan personnel. Sans le savoir. Pourtant je dessinais le symbole de la kundalini depuis l’enfance de façon plus ou moins obsessionnelle. Pourtant toutes mes actions, mes pratiques, mes idées d’accompagnement depuis 5 ans n’étaient finalement liées à pour ça : lui permettre de faire son job. Mais j’avais zappé l’essentiel. C’est elle qui me guide. C’est elle qui fait le boulot de guérison…
Le principal obstacle à l’oeuvre libératoire de la kundalini, c’est la résistance de notre mental, l’ampleur des blessures traumatiques émotionnelles et l’enkystement des canaux énergétiques dans notre corps physique : en d’autres termes, l’énergie qui passe mal.
Dans le 1er article, je parle des briques qui aident le processus libératoire de la Kundalini. Ici je les présente de façon plus détaillée.
Dans cet article, je continue à relater mes expériences chamaniques et ce qui en ressort (voir 3 cérémonies chamaniques…). Ici, je raconte les deux dernières qui ont le même sujet : le mental et Je suis.
Premier voyage
Comme souvent, alors que les sensations commencent, il y a deux portes. Celle du lâcher-prise où l’abandon génère un profond bien-être, des visions lumineuses, des sensations chaudes et enveloppantes, une féérie.
Et l’autre porte, celle où le mental veut lui aussi participer et reprend le contrôle.
Il m’a été proposé dernièrement de payer un montant conséquent et non négociable pour un accompagnement énergétique (moi qui adore négocier !!) mais de m’aider à actionner la loi d’attraction de l’abondance pour assurer le truc.
En clair, on m’a proposé de sortir de ma position de victime qui ne peut pas s’offrir un accompagnement pour la position de celle qui se détermine pour et fait se qu’il faut pour.
Autant dire que ça ma challengée grave. C’est ce dont je vais parler ici.
L’argent pour moi a longtemps été quelque chose dont je me foutais. Je n’y faisais pas attention. Quand je n’en avais pas, je pouvais facilement m’en foutre, et puis à d’autres moments, plonger dans une sorte de terreur du manque.
Dernièrement, en particulier en contactant mon Je suis (voir Cérémonies chamaniques 4 et 5), qui est ancré dans la matérialité, donc dans l’abondance, j’ai réalisé que ma fuite de l’argent était en lien avec une forme de mépris pour la matérialité.
L’argent est-il sale de sa matérialité ? Y a t-il un point d’équilibre entre refus et avidité sécuritaire ? Comment en jouer avec classe ? Clint Eastwood est la réponse.
Ou comment on découvre que nous faisons des actes de résistance passive pour compenser le manque à défaut de le guérir et comment nous créons des relations systémiques ce faisant.
Au détour d’un stage de tantra, puis d’un voyage chamanique, j’ai vu ma part masculine et ma part féminine interargir ensemble. C’était beau et édifiant. La part masculine mature avec la part féminine immature…. Plus tard, j’ai vécu l’inverse. j’ai entraperçu la part masculine immature, héritage de la lignée masculine dans ma famille, et la…
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