Moldus vs handicapés | Viendez nous rejoindre !
La rencontre entre moldu et bipolaire, schizophrène et autiste,
La rencontre entre moldu et bipolaire, schizophrène et autiste,
Comment j’ai vu ma mère en flagrant délit de toxicité avec moi, et comment j’ai réalisé que j’avais choisi d’y entrer pour ne pas voir sa faiblesse.
Au détour d’un stage de tantra, puis d’un voyage chamanique, j’ai vu ma part masculine et ma part féminine interargir ensemble. C’était beau et édifiant. La part masculine mature avec la part féminine immature…. Plus tard, j’ai vécu l’inverse. j’ai entraperçu la part masculine immature, héritage de la lignée masculine dans ma famille, et la…
Ou comment on découvre que nous faisons des actes de résistance passive pour compenser le manque à défaut de le guérir et comment nous créons des relations systémiques ce faisant.
L’argent pour moi a longtemps été quelque chose dont je me foutais. Je n’y faisais pas attention. Quand je n’en avais pas, je pouvais facilement m’en foutre, et puis à d’autres moments, plonger dans une sorte de terreur du manque.
Dernièrement, en particulier en contactant mon Je suis (voir Cérémonies chamaniques 4 et 5), qui est ancré dans la matérialité, donc dans l’abondance, j’ai réalisé que ma fuite de l’argent était en lien avec une forme de mépris pour la matérialité.
L’argent est-il sale de sa matérialité ? Y a t-il un point d’équilibre entre refus et avidité sécuritaire ? Comment en jouer avec classe ? Clint Eastwood est la réponse.
Il m’a été proposé dernièrement de payer un montant conséquent et non négociable pour un accompagnement énergétique (moi qui adore négocier !!) mais de m’aider à actionner la loi d’attraction de l’abondance pour assurer le truc.
En clair, on m’a proposé de sortir de ma position de victime qui ne peut pas s’offrir un accompagnement pour la position de celle qui se détermine pour et fait se qu’il faut pour.
Autant dire que ça ma challengée grave. C’est ce dont je vais parler ici.
J’ai participé il y a quelques temps à une chantier participatif. En fin de matinée, après une discussion avec une personne, j’ai eu une attaque de panique. Une montée d’angoisse qui m’a fait contacter une part de moi que j’avais oubliée, ou plutôt que je subissais tellement quand elle montait, que je ne l’avais jamais observée. Je m’y identifiais totalement.
L’expérience de la diète chamanique, le pouvoir de la plante diétée, de l’isolement, et la difficulté pour l’occidental à libérer ce qui doit être libéré tant que le mental n’a pas été désactivé par la présence et l’attention.
Le miracle du covoiturage, ou quels sont les ingrédients qui permettent ces conversations surprenants, fluides et souvent si nourrissantes ? Analyse de ce qui nous facilite l’interaction à l’autre, pour nous humains. Et surtout français.
Cet article est un article d’abord écrit sous le coup de l’émotion, comme souvent, puis repris plus tard, pour mettre un peu plus de conscience. En résumé, alors que je reviens d’un weekend en festival chamanique plutôt sympa, je me surprend à ressentir une bonne colère le lendemain. Le texte est cette mise à plat.…