La Piste est une association pour les personnes hypersensibles et profils atypiques afin d’initier ensemble un chemin vers soi : se libérer du mal-être, se sentir soi, et accéder à un état plus vibratoire, plus confiant en soi et en la vie. C’est ce qu’on peut appeler la quête de Je suis. Mais c’est juste la réponse à un appel intérieur qu’on ne peut (plus) ignorer.

Le processus vers Je suis est un chemin de guérison. Cette guérison s’appuie sur notre énergie vitale, qui est là pour nous aider à libérer ce qui nous oppresse, contraint et nous fait souffrir : nos blessures émotionnelles et notre mental (programmes, croyances, injonctions). L’invitation ici est de soutenir notre énergie plutôt que lutter contre, ce que nous faisons depuis longtemps, car nous essayons de contrôler : l’énergie, les émotions, les perceptions. Le chemin est donc à l’inverse de ce qui a été appris : décontrôler, accepter de ressentir, et mettre de la conscience sur ce qui a lieu, les expériences comme les ressentis.

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C’est quoi le processus ? La quête de soi ou de Je suis commence souvent avec une crise : un burn out, une maladie, un deuil, un harcèlement, un mal-être, quelque chose qui brise notre carapace habituelle et nous expose. Pour les hypersensibles « naturels », la carapace n’a jamais été opérationnelle vraiment, le processus est enclenché sans crise mais souvent dans la résistance car ils n’en savent rien. La crise permet de défaire les restes. Parfois, il s’active avec des pratiques yogiques, ce qui demandait avant une longue pratique. Depuis quelque temps, le processus semble s’activer un peu partout, mais il faut dire que notre société est en crise…

Les symptomes d’un début de processus : on est soudain confronté par ce que l’on acceptait pourtant avant, on ne supporte plus l’entreprise, les gens, le béton, la musique forte, on ressent une anxiété, des angoisses ou de fortes émotions, parfois le corps ne répond plus correctement, ou bien on se sent dépassé, dépressif ou « bipolaire ». Bref, c’est la crise. Nous rentrons en processus.

Dans La Piste, nous essayons de le soutenir au lieu d’y résister. Car nous résistons beaucoup : aux émotions, à ce que l’intérieur veut et n’est pas validé par l’extérieur ou par notre mental. Bref, on peut choisir de soutenir le travail de libération et de déconstruction que veut opérer notre énergie vitale… ou continuer à souffrir. Le corps fait partie de l’équipe de soutien. Son état inflammatoire permanent (et ignoré) joue beaucoup dans les états anxieux, dépressifs, cyclothymiques des hypersensibles, comme la science le découvre actuellement.

Bref, au travail !

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Ici sur le site, je te propose :

  • Des textes pour :
    – comprendre nos difficultés, nos blocages, ce qui se joue quand on est hypersensible
    – comprendre l’aspect existentiel de l’hypersensibilité et son rapport à notre civilisation
    – comprendre comment soutenir le processus, les méthodes, pratiques, outils
    – comprendre aussi Je suis, le mental, les émotions, l’énergie vitale (Kundalini).
    Le blog
  • Du soutien individuel si tu en as besoin. Le soutien individuel
  • Une dynamique collective pour partager des espaces. Le Compagnonnage. 

Pour les adolescents, l’asso propose une démarche collective dans la pair-aidance avec L’atelier Ados.

La Piste est basée à Rennes/Saint Germain sur Ille.

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La voie de l’énergie

Sans émotions, il est impossible de transformer les ténèbres en lumière  et l’apathie en mouvement. Jung

 

Dans notre civilisation, nous apprenons très tôt à refouler l’énergie. Celle des émotions, des intuitions, des envies, du désir, de ce qui fait sens pour nous. A force d’injonctions à ne pas ressentir ou à ne pas être « ainsi », ou de discréditer ce que nous percevons, nous apprenons à refouler ou contrôler. L’énergie vitale perd alors de la force au fil des années, et c’est ce qui nous différencie de l’état d’enfant et d’adulte : nous sommes moins vivants, moins animés, plus mentaux et plus en contrôle. Pour certains, cela est voulu et les protège. Pour d’autres ça ne fonctionne pas et les fait souffrir. C’est le cas des personnes hypersensibles, l’énergie est là mais  bloquée, ce qui donne des états anxieux, compulsifs ou fébriles, et parfois des états up quand l’énergie passe d’un coup après avoir été trop contrainte…

La voie de l’énergie, c’est d’accepter de la laisser passer. Cela peut faire peur, mais quand elle passe, nous retrouvons derrière ce soi d’origine, spontané, puissant, autonome libre et en paix. Je suis. Mais, ça implique de soutenir notre processus ! 

Pourquoi vivons-nous une crise ?

L’état de crise que nous vivons dans notre vie est un appel intérieur. Notre intérieur commande des expériences qui finissent par nous mettre à genoux. Pourquoi ? Parce que notre intérieur veut faire sauter la carapace mentale. Or la crise a cette immense avantage de faire sauter la carapace, souvent temporairement, mais c’est dans cet espace que nous prenons conscience que nos combats, nos efforts, notre volonté mentale sont vains. Dans cette sensation, parfois un peu ou très désespérée, nous touchons l’humilité. Une forme de lâcher prise, et nous osons alors faire des choses que nous n’aurions jamais faite avant. Le processus commence.

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Pour soutenir le processus en mode individuel ou en compagnonnage, découvrir En quête de Je suis

  • En individuel, pour travailler sur les blocages et le mal-être immédiat. 
  • En compagnonnage pour explorer à plusieurs des espaces et pratiques de guérison (retraites, pratiques méditatives, détox, soins Kundalini, etc) .
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Le blog pour comprendre de quoi nous parle existentiellement l’hypersensibilité, les croyances dans lesquelles nous sommes installées, et puis aussi le processus de guérison, en quoi consiste t-il, qu’est ce que la Kundalini, comment ça marche ?

On peut le prendre du début, et ça parle beaucoup d’hypersensibilité :  cliquez ici.  

Ou passer aux derniers articles, qui parlent de tout et de rien, peut être de façon plus personnelle, mais toujours autour de l’hypersensibilité et du processus de libération :  cliquez icii.

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Pourquoi ça résiste ?

 

Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Jung

 

Dans la résistance à l’énergie, aux émotions, il y a la peur. La peur de l’obscurité intérieure, la peur de l’incontrôlable, la peur du néant. Toutes ses peurs sont ancrées dans notre inconscient et plus loin, dans l’inconscient collectif. C’est cette peur qui nous met en hyper contrôle de nous-même. Mais, la paix passe par cette exploration intérieure. Par l’exploration de l’obscurité, qui n’est obscure que parce que la lumière de notre attention n’y est pas encore parvenue.

Quand nous amenons l’obscurité à la lumière, c’est à dire quand la nous regardons, nous découvrons alors qu’il n’y a ici rien de grave : des besoin non nourris, du manque d’amour (manque d’attention, d’écoute, de reconnaissance, de présence, etc) et des équations erronées que nous avons construites pour donner du sens aux situations que nous avons vécues dans l’enfance. Parfois et souvent à notre propre détriment, pour ne pas reconnaître la faiblesse et l’incohérence en face, celle du monde, de notre société, de nos parents parfois aussi.

Ces équations, tant qu’elles n’ont pas été éclairées par la conscience, deviennent une voix intérieure que nous ne remettons pas en cause. Elle distribue des croyances, des auto-interdictions, des injonctions, des étiquettes, des jugements dévalorisants sur soi, sur ce qu’il est bon de faire, d’être, de ne pas être, sur ce que sont les autres, comment fonctionne la vie, ce qu’elle est, les cases, les règles, la justice, etc.

Nous nous identifions à cette voix et nous prenons pour vrai ce qu’elle nous dit. Un jour, le doute s’installe. Qui parle ici ? Suis-je vraiment sûr(e) que ces pensées disent la vérité ? Et si ce n’est vrai, quelle est la vérité ?

On peut décider de apporter notre attention à cette voix, et derrière, à ce que l’on peut appeler l’obscurité intérieure. C’est le but de nos expériences, appeler ce retournement du regard non plus vers l’extérieur mais vers l’intérieur.  Et quand la lumière de l’attention éclaire l’obscurité, elle fond… Et quand elle fond, l’énergie de Je suis nous transperce. Et c’est beau et puissant.

Gwenn HOuédry
QUI SUIS-JE ?

La piste est une association qui a vocation à permettre à chaque personne d’accomplir son petit bout de chemin, sa quête existentielle, quels que soient ses revenus.

Comme j’en suis la fondatrice, je vais parler un peu de moi.

J’ai longtemps été hyperactive et hypersensible, pleine de pourquois et en grande frustration d’intensité. Je suis toujours dans cette sensibilité, mais contrairement à avant, une chose a changé. Chaque nœud que je rencontre me permet de libérer émotions et conscience. Conscience, c’est à dire me permet de comprendre pourquoi je vis une expérience, quels sont mes besoins derrière et quelle est ma vraie exigence intérieure (je savais même pas que ça existait…). Émotions, parce que chaque libération émotionnelle me permet de contacter un espace vibratoire et de clarté d’esprit intérieur que je n’avais jamais expérimenté avant. J’ai eu un éveil de Kundalini, et il m’a fallu quelques temps pour associer cette intensité dans mon processus avec la Kundalini. C’est fait.

Avant de comprendre et surtout de pratiquer pour ça, mon corps m’a parlé. J’ai eu des insomnies quotidiennes pendant 20 ans sans chercher autre chose que l’arrêt des symptômes à coup de chimie essentiellement. J’ai d’abord cru qu’il fallait faire taire mon corps. Ce n’était pas une bonne idée.

Quand je suis arrivée au bout de l’exercice, je n’ai plus eu d’autres issues qu’essayer autre chose. Il se trouvait que je ne croyais en rien. Je n’avais rien essayé, rien expérimenté, mais rien ne me semblait assez pour me sauver. Le désespoir m’a fait changer de camp. J’ai essayé par désespoir. Et ma vie a changé. Les insomnies n’étaient que le petit bout de l’iceberg.

Derrière l’hypersensibilité, il y a une grande intensité et une quête qu’on peut dire existentielle. Il y a un moi profond qui exige et qu’on peine à entendre (notre âme). Et une énergie qu’on ose à peine autoriser (la kundalini) mais qui se fraye quand même un chemin, provoquant dans cette rencontre avec notre résistance mentale inconsciente, de grands frottements Si on soutient l’énergie, si on cherche ce moi profond au lieu de le duire, si on accepte de laisser l’énergie circuler, alors notre vie change. C’est chaotique, sans aucun doute, confrontant parfois, mais les résultats sont là, visibles et ils augmentent.

Quand le processus intérieure s’accélère avec ce soutien à l’énergie, les contractions ne s’arrêtent pas. Mais elles sont plus courtes, plus expressives, et à chaque contraction, il y a un avant et un après. Car on se libère d’une part de la carapace. On se rapproche du vrai soi. Et il est beaucoup plus jouissif que notre personnage habituel. Qui fait le taf de la vie. Mais sans trop vibrer.

Alors, c’est mon invitation avec La Piste, faire ce chemin ensemble. Parce que ensemble, c’est plus fort, et ça marche mieux.

ARTICLES

Le faux self | Ce que l’égo refuse de vivre

Le mental au service de l’égo est compensatoire. Il refuse les expériences et tente de compenser au lieu de libérer. Le sacripan.

Tout est juste.

L’univers nous prépare à être la personne qui va vivre ce à quoi nous aspirons. En cela, il nous fait passer par des expériences d’échecs, de difficultés, qui vont nous apprendre qui nous sommes et nous débarrasser de nos nœuds, de notre karma.

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En quête de Je suis | Tout est juste

L’univers nous prépare à être la personne qui va vivre ce à quoi nous aspirons. En cela, il nous fait passer par des expériences d’échecs, de difficultés, qui vont nous apprendre qui nous sommes et nous débarrasser de nos nœuds, de notre karma.

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Demander ce qu’on ne se donne pas | Reprendre sa responsabilité

Dans cet article, je parle de comment ce que nous demandons aux autres et à la vie parle de ce que nous ne nous donnons pas à nous-même. Et comment nous cherchons compensation à l’extérieur à défaut de se donner à soi. Et c’est bien légitime, mais il y a une autre posture beaucoup plus efficace pour obtenir.

Il y a un an comme ça, j’ai réalisé que je demandais aux autres de combler mon manque d’abondance. Pas ouvertement mais dans ma posture intérieure. Donc dans l’énergie. Clairement, ma mère devait le ressentir quand nous discutions puisque elle se faisait un devoir de ne jamais y répondre.

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Quand « ça » fait baisser la fréquence | Se casser ou subir

Certaines situations, relations baissent notre fréquence vibratoire après un temps d’exposition. Ca peut être une relation de couple, de travail, une situation, un aliment, une substance. Quand la fréquence baisse, un plug énergétique se créé avec l’autre. ON est dépendant au plug énergétique. On est addict au poison qui nous soulage dans l’instant mais nous diminue dans la durée.

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Matrice & hypersensibilité

La matrice, c’est ce que véhicule l’inconscient collectif et l’ADN de notre société depuis des centaines d’années, voir des milliers d’année, et qui nous imbibe depuis l’enfance, à travers nos parents, l’école, notre environnement, nos interactions sociales. La matrice sociétale définit l’humain. Elle définit ce qu’est un humain : ses besoins, sa nature, et contribue…

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L’argent peut-il être cool ? Approche à la Clint

L’argent pour moi a longtemps été quelque chose dont je me foutais. Je n’y faisais pas attention. Quand je n’en avais pas, je pouvais facilement m’en foutre, et puis à d’autres moments, plonger dans une sorte de terreur du manque.
Dernièrement, en particulier en contactant mon Je suis (voir Cérémonies chamaniques 4 et 5), qui est ancré dans la matérialité, donc dans l’abondance, j’ai réalisé que ma fuite de l’argent était en lien avec une forme de mépris pour la matérialité.
L’argent est-il sale de sa matérialité ? Y a t-il un point d’équilibre entre refus et avidité sécuritaire ? Comment en jouer avec classe ? Clint Eastwood est la réponse.

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Jouer la matérialité | Le point zéro avec Clint

Il m’a été proposé dernièrement de payer un montant conséquent et non négociable pour un accompagnement énergétique (moi qui adore négocier !!) mais de m’aider à actionner la loi d’attraction de l’abondance pour assurer le truc.

En clair, on m’a proposé de sortir de ma position de victime qui ne peut pas s’offrir un accompagnement pour la position de celle qui se détermine pour et fait se qu’il faut pour.

Autant dire que ça ma challengée grave. C’est ce dont je vais parler ici.

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Cérémonies chamaniques 4 et 5 | Je suis et la vibration

Dans cet article, je continue à relater mes expériences chamaniques et ce qui en ressort (voir 3 cérémonies chamaniques…). Ici, je raconte les deux dernières qui ont le même sujet : le mental et Je suis.

Premier voyage
Comme souvent, alors que les sensations commencent, il y a deux portes. Celle du lâcher-prise où l’abandon génère un profond bien-être, des visions lumineuses, des sensations chaudes et enveloppantes, une féérie.

Et l’autre porte, celle où le mental veut lui aussi participer et reprend le contrôle.

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Kundalini | Soutenir la force vers Je suis

Le principal obstacle à l’oeuvre libératoire de la kundalini, c’est la résistance de notre mental, l’ampleur des blessures traumatiques émotionnelles et l’enkystement des canaux énergétiques dans notre corps physique : en d’autres termes, l’énergie qui passe mal. 

Dans le 1er article, je parle des briques qui aident le processus libératoire de la Kundalini. Ici je les présente de façon plus détaillée.

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Kundalini | La force guérisseuse (2)

J’ai suivi une formation sur la kundalini* en août. Moi qui croyais en avoir bien compris les éléments, j’ai réalisé que je n’avais pas saisi l’essentiel. Dans les jours qui ont suivi, j’ai réalisé que la kundalini était le point d’ancrage autour duquel je tournais depuis 5 ans en accompagnement et depuis 50 ans sans doute sur le plan personnel. Sans le savoir. Pourtant je dessinais le symbole de la kundalini depuis l’enfance de façon plus ou moins obsessionnelle. Pourtant toutes mes actions, mes pratiques, mes idées d’accompagnement depuis 5 ans n’étaient finalement liées à pour ça : lui permettre de faire son job. Mais j’avais zappé l’essentiel. C’est elle qui me guide. C’est elle qui fait le boulot de guérison…

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Kundalini | La force guérisseuse (1)

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Unité, autonomie et ubuntu | Quand l’autre nous connecte au divin

Il y a quelques temps, après deux mois d’un étrange sentiment d’unité que je n’avais jamais connu, je me suis vue chuter. Une résistance s’est installée en moi, en quelques jours, une forme d’atonie d’abord, comme une non-sensibilité, puis ensuite une angoisse diffuse que je n’arrivais pas à libérer. Je m’installais pourtant chaque matin pour…

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Nourrir nos besoins essentiels | Peut-on jouir sans la part exacte ?

Nous avons des besoins. Il y a ceux que l’on croit devoir remplir pour être heureux. Et ceux qui nous nourrissent vraiment et durablement. Les premiers sont matriciels. Les autres sont essentiels à l’humain… mais pourtant peu conscientisés, et surtout peu soutenus par notre société : le besoin de sens, le besoin d’écoute, d’accueil, de présence, de vibration, de passion, d’énergie circulante.

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Une peur | Encensement, bashing et ruissellement

Dans ce petit texte, je voulais partager une peur que j’ai rencontrée au détour de mes animations collectives, en particulier quand elles sont faites avec des personnes que je connais. Elle est fugace, profonde, rare… mais elle est surprenante et bel et bien présente dans ma structure de souffrance. C’est la peur d’être encensée puis bashée ensuite.

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L'adolescence et le déni de soi

L’adolescence et l’écrasement de notre âme

J’ai participé il y a quelques temps à une chantier participatif. En fin de matinée, après une discussion avec une personne, j’ai eu une attaque de panique. Une montée d’angoisse qui m’a fait contacter une part de moi que j’avais oubliée, ou plutôt que je subissais tellement quand elle montait, que je ne l’avais jamais observée. Je m’y identifiais totalement.

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Hypersensibilité | Pistes

Se dissocier de la matrice Notre société nous apporte des bienfaits matériels concrets (assistance sociale, enseignement gratuit, revenu minimum, couverture sociale) mais l’essentiel lui échappe. La présence, la bienveillance, l’accueil, l’amour, le sens sont apportés non par un système étatique mais par une philosophie communautaire structurée que nous retrouvons chez les peuples premiers (voir le…

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Nourrir nos besoins essentiels | La résistance empêche la jouissance

Un petit partage de réflexions suite à la conférence « l’hypersensibilité est-elle une manifestation d’humanité ou une fragilité ?« .   [toc]   Le postulat Notre civilisation crée notre mal-être. Nul besoin de tergiverser sur cette évidence (dont j’ai déjà beaucoup parlée). Elle ne nourrit pas nos besoins essentiels d’humains et nous fait tomber « malades » de nous-mêmes,…

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Festival chamanique

Le festival chamanique | Paillettes, faux-semblants et peurs

Cet article est un article d’abord écrit sous le coup de l’émotion, comme souvent, puis repris plus tard, pour mettre un peu plus de conscience. En résumé, alors que je reviens d’un weekend en festival chamanique plutôt sympa, je me surprend à ressentir une bonne colère le lendemain. Le texte est cette mise à  plat.…

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Prétention, connexion et source intérieure | Les repérer (partie2)

Dans cette partie 2, je parle de cette nourriture relationnelle à laquelle on peut prendre tant de plaisir, qui est si rare parfois, de quand elle se donne et de quand elle se donne pas. Je parle en particulier de la double brique idéale pour que cette discussion « miraculeuse » ait lieu : la quête de vérité et l’écoute du ressenti, ce que l’on pourrait appeler le « crédit à la source intérieure ». Alors, à ce moment là, nous sommes en transe intérieure…

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L’appel intérieur | Vers un compagnonnage ?

L’appel intérieur est un appel d’exactitude avec soi et avec les autres. Une envie de transparence, de sortir de l’illusion, et d’être en connexion avec les autres de cette façon : pas en gérant une image mais en étant soi, pleinement, sans être dupe de nos parts intérieures qui demandent à se libérer. C’est l’idée d’un lieu de compagnonnage…

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Offrir son intensité à l’autre | Se confronter à la peur quand est entrepreneur

Offrir ses services à l’extérieur, c’est offrir une forme d’intensité qui nous confronte à nos peurs de ne pas être accueilli. Nous l’avons déjà vécu enfant, ou ado, et cette douleur là nécessite du temps pour nous confronter… puis passer. Avons-nous la patience d’en voir l’énergie se dissoudre ou exigeons-nous un résultat immédiat ? C’est le sujet de cet article.

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Pourquoi je n’arrive pas à m’en sortir | Bouderie, baguette magique et renoncement

Pourquoi on n’arrive pas à faire le pas et à vraiment travailler sur soi ? Parce qu’on attend que la situation nous amène ce à quoi on a droit. Au fond de nous, nous avons un profond sentiment d’injustice et l’exigence que ce qui nous manque devrait nous être donné : le sommeil, l’attention, la reconnaissance, le bonheur. Or ça ne marche pas comme ça.

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Le ratage entrepreneurial | Observer l’énergie de fond

Nous sommes parfaits et nous l’ignorons. Nos difficultés, elles aussi, sont parfaites car elles nous invitent à contacter ce qui a fondé l’action d’origine. Bien souvent, c’est la peur. Parfois la tristesse. Souvent l’injonction. Alors, quand l’action ne nous satisfait pas ou ne tourne pas comme prévu, la question n’est pas l’autre ou la malédiction ou notre insuffisance. La question est : dans quelle énergie ai-je lancée cette action, si je suis vraiment honnête ?

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