Prise de pouvoir du mental | Comment sortir de son champ énergétique ?
Quand le mental prend le pouvoir ; comment le reconnaître quand il est aux manettes et comment sortir de son champ énergétique aliment par le corps de souffrance.
Quand le mental prend le pouvoir ; comment le reconnaître quand il est aux manettes et comment sortir de son champ énergétique aliment par le corps de souffrance.
L’appel intérieur se manifeste d’abord par les crunchs et les tensions que l’on rencontre de notre vie de façon de plus en plus intenses. Si on résiste, on gobe. Si on décide d’écouter l’appel intérieur, alors se dresse en face notre coquin de mental et toute une stratégie de résistance. Bienvenu(e) dans la phase 3 de la désintégration positive !
Pourquoi le juste bien n’arrivera pas, quoique l’on fasse ? Peut-on espérer plus ? Et si oui, comment ?
Comment on peut reconnaître que l’autre aussi a plusieurs parts, et que si une part peut aimer, une autre peut vouloir contrôler, humilier ou détruire. Reconnaître ces multiples parts permet de rendre cohérent l’inexplicable, et de reconnaître l’intention malveillante quand elle est là. Puisqu’elle peut être là.
Faire venir la conscience par le travail sur la fréquence vibratoire, en particulier avec les mantras, c’est super chouette. Mais, je réalise que c’est incompatible avec la libération émotionnelle. En clair, nous avons besoin des fréquences basses pour décristalliser les émotions à vibration basse. Dis comme ça, ça paraît logique finalement…
Nous avons plusieurs parts en nous, et ces parts ont leurs propres histoires, leurs propres fantasmes, et leur blessure bien à elles. Elles s’activent quand une situation nous met en écho avec la blessure. Nous les refoulons ou nous identifions à elles. Et dans un cas comme dans l’autre, nous les subissons. Or, elles ne demandent qu’une chose : un espace d’expression.
Être bien ne me suffit pas. Je vois bien que l’intensité de la rencontre, la spontanéité, le contact avec la puissance, la vraie présence, ne sont pas pleinement accessibles si on ne va pas les arracher. Suis-je la seule à être dans cette quête ? Qu’est ce qui nous retient ? Est-ce que même être juste bien existe vraiment ?
Faut-il écouter nos ressentis ? Quand leur faire confiance ? Comment se manifestent-ils ? L’espace du ressenti est dans l’observation de la résistance. Car c’est son effet délétère que nous captons en premier.
La peur de soi, c’est la peur d’aller en soi : rencontrer le vide, s’effondrer, découvrir la noirceur. Les 3 sont ok. Le vide n’est que transitoire, l’effondrement n’aura pas lieu, et la noirceur n’est que la manifestation d’une tristesse non accueillie. Tout est parfait.
Oser être soi, c’est pouvoir dire non quand on le sent. Or nous sommes bourrés d’injonctions et de croyance vis à vis de nous et des autres qui nous font aller à contre-courant de l’énergie. Une seule rège prévaut : l’énergie doit circuler. C’est là où l’univers vous le rendra.