ConscienceHypersensibilité

Beaucoup de gens m’ont fait douter de moi dans ma vie. Normal me direz-vous, comme tout le monde. Oui, mais je pense avoir cette propension de l’hypersensible à me laisser plus facilement que d’autre absorber par l’énergie de l’autre, et à entrer dans une sorte de soumission inconsciente à ce que l’autre sous-entend de façon implicite, sans le dire clairement. Quand c’est dit clairement, la bataille est ouverte (je la gagne souvent alors). Mais quand c’est sous-entendu, dégagé, ouh la… Je souffre.

Plusieurs critères sont nécessaires à cette prise de pouvoir non officielle, systémisée. Le jugement négatif ne doit pas être dit mais dégagé. L’énergie dégagée ne peut être repérée « officiellement » par des mots ou des écrits explicites, elle est juste « ressentable », mais non « prouvable ».

Le jugement implicite doit être dégagé dans le cadre d’une dépendance. L’attente et le crédit accordé empêchent la prise de recul. Même si le jugement est faux ou abusif, la cible doute. Car elle tient à la personne, à la relation, à la situation. Bref, ça lui importe que ça se passe bien.

Analyse.

 

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Ce matin, la peur de ne pas être assez

Ce matin, je me suis retrouvée à échanger par message avec quelqu’un que je connais presque pas et qui semblait sûr de lui et légèrement expéditif. Se plaignant de s’ennuyer rapidement dans les échanges.. Je me suis alors surprise à essayer de lui plaire, ou plutôt à essayer de ne pas lui déplaire. Je ne m’en suis pas rendue compte tout de suite. Mais je n’arrivais pas à envoyer un message, je le réécrivais éternellement. Et surtout je ne me sentais pas bien. J’étais anxieuse. En fait j’avais peur de le faire chier en étant juste spontanée. J’avais peur qu’il me trouve insuffisante. De qui, de quoi, je ne sais pas..

J’ai relu les échanges plus tard pour voir si les échanges « dégageaient » cette impression d’exigence.

J’ai vu alors qu’une part en moi avait assimilé son exigence comme légitime (tu n’es peut être pas assez intéressante pour moi Gwenn), mais qu’en plus cette part assumait que c’était ma responsabilité si cette exigence n’était pas satisfaite (je ne suis pas assez intéressante, c’est vrai). Bref, que le fait de l’emmerder parlait de moi et non de lui.

Que s’est-il passé là en moi pour que je donne tant crédit à cette personne, et surtout à son implicite « c’est les autres qui me font chier » ou « je m’emmerde avec la plupart des gens » ? Pourquoi je n’ai pas vu son implicite ? Et pourquoi tant que je ne le vois pas, il me met autant sous pression ?

Dans cette histoire hyper anecdotique, j’ai reconnu la sensation d’autres situations beaucoup plus pénibles et impactantes. Mais le côté anecdotique m’a permis de voir ce que sans doute je ne voyais pas habituellement quand le tunnel était trop profond.

Pendant ma méditation du matin (très émotionnelle !!), je me suis étonnée du pouvoir que je laissais à cette personne sur moi… Comment il m’était devenu soudain si difficile de me contenter d’être moi.

Cette réflexion a également fait écho avec mon activité, ou parfois je peux me poser la question pendant des semaines, voir des mois, de comment communiquer avec les gens pour que ça le fasse. Il faut que ça le fasse. Et la spontanéité alors disparaît. Être soi ne suffit plus. Être soi ne semble pas assez. Par défaut. Et le moindre signe en face de désintérêt n’est pas pris pour ce qu’il est, une personne qui a son propre intérêt, sa propre exigence, et dont je n’ai que faire. Mais comme la preuve que je dois faire mieux.

C’est facile à décrire comme ça, mais quand on rentre dans ce tunnel de la démonstration de notre suffisance, on ne voit rien. Rien de notre soumission à la réelle ou supposée exigence en face. On rentre en système. Point barre. Et pourquoi ?

Parce qu’on est en dépendance. Nous avons une attente.

 

La dépendance, terrain glissant

Là, avec cette personne, quelque chose en moi était dans l’attente. Je ne voulais pas que ça se passe mal. Ca « devait » bien se passer. Et on peut entrevoir déjà ici la dépendance, la nécessité qui nous met un pied dans l’ornière. Ce « il faut que… » qui nous rend aveugle au ressenti clair de l’implicite. Nous rentrons dans le système. Nous prenons l’implicite comme évident. Et nous passons alors en mode soumission : justification, tentative de satisfaire, de plaire, d’être suffisant, de prouver qu’on peut être.

Si je n’avais rien investi sur cet échange, j’aurais à peine senti l’implicite mais surtout, je serai restée moi-même. Quitte à ce que ça ne le fasse pas. De quelle liberté extraordinaire nous disposons quand nous ne dépendons de personne…

Dès lors qu’il y a attente, la brèche est ouverte. Une faille énergétique en nous. Maintenant, la question est de savoir si elle sera utilisée en face. C’est là où ça devient passionnant. Ca dépend 🙂

 

La dépendance, écho d’une empreinte

Je me soumets, j’essaye de plaire, je fais des efforts, je perds ma spontanéité. Quel interlocuteur en profite ? Qui recule ?

Certains s’y engouffreront. D’autres l’éviteront. Certains aiment les failles. D’autres préfèrent passer leur chemin. Ca les met juste mam à l’aise. Et c’est très bien. Ceux qui aiment  cette faille là seront pilotés par leur inconscient. Ils iront là où ils pourront faire ressentir à l’autre leurs propres émotions traumatiques (humiliation, jugement, etc.) et reprendre un peu de sensation de pouvoir. Bref, ils pompent l’énergie. Parce qu’elle s’offre.

Ce qui m’est apparu bizarre, c’est que la dépendance puisse s’installer avec si peu de proximité, sur un échange aussi anecdotique.

Cette porosité à l’autre m’a interrogée. Et c’était d’autant plus interrogeant que là, ici, je m’en étais rendue compte, mais il était probable que je ne m’en rendait pas compte les autres fois. Combien de fois ai-je pris le jugement, l’exigence implicite d’une personne pour vrai ?

Pourquoi ce crédit laissé à S. dans cet échange matinale ? Pourquoi cette soumission à « tu es insuffisante » ? Y a t-il d’ailleurs même émission de ce jugement ?!!

Emotionnellement, j’ai alors retrouvé une empreinte que j’avais complètement zappée. Une empreinte de l’enfance.

 

L’empreinte

Me concernant, l’empreinte parle de mon frère. Et d’ailleurs cette personne avait quelque chose de mon frère !

Mon frère m’a beaucoup dit ce que j’étais ou n’étais pas. Il m’a beaucoup critiquée quand j’étais enfant. Et j’en souffrais car je me sentais impuissante et désespérée d’être décrite ainsi alors que je ne me reconnaissais pas. Mais j’accordais crédit, malgré mon ressenti contradictoire. Comment ne pas accorder crédit puisque cette personne me connaît si bien ?

Dernièrement, un ami m’a resservi les mêmes critiques : tu t’en fous des autres, tu es égoïste, etc. Sur le coup, je me suis sentie profondément atteinte. Ca m’a remuée. J’aurais pu prendre du recul car il avait le cœur brisé et il était en colère. Mais je n’y arrivais pas. J’étais profondément touchée et triste. J’ai ressenti combien il est difficile de se sentir jugé précisément là où on est en proximité. Connu. Aimé. Car, si on nous connaît, et si on nous aime, mais qu’on nous juge, c’est que vraiment, l’avis doit être dès plus réaliste. L’équation est mortelle. Car très logique. Or non, on peut être pleinement connu, aimé, et faire l’objet d’un jugement non objectif. C’est ce qu’on appelle un système (dès lors que le jugement impacte)..

C’est même dans ce contexte que les meilleurs systèmes se créent !

 

Pour qu’il me dise ça, c’est que vraiment….

« Pour que quelqu’un qui t’aime te dise ça, il faut vraiment que tu sois une mauvaise personne. »

Voyez-vous comment le doute s’insinue en nous quand nous sommes enfant ? Pour que quelqu’un qui m’aime me fasse sentir que je ne devrais pas être comme ça, il faut vraiment que je sois une mauvaise personne, ou pas comme je devrais être.

Ce qui est interrogeant, finalement, ce n’est pas notre logique. Elle est limpide et explicable. On m’aime, on me connaît. Donc ça ne peut mentir.

Ce qui est interrogeant, aussi, c’est la motivation de l’autre. Car pourquoi émettre un jugement s’il est faux ?  Pourquoi le fait-il si ce n’est pas vrai ?

Et la question est vraiment là, car tant que l’on a pas compris ce qui habite l’autre dans cette interaction, on pourra difficilement la remettre en cause et s’en libérer.

 

L’absence de demande et le défoulement

Le jugement n’est pas une demande. Le jugement est un défoulement, une colère de décompensation. Dès lors que le jugement n’est pas associé à une demande claire (je n’aime pas quand tu fais ci, peux-tu faire différemment, etc.), c’est qu’il y a une colère à défouler, et qui doit trouver prise. Faire une demande ne servirait à rien, au contraire, car alors, quoi faire de la colère si on obtient gain de cause ?!! Bref, faire une demande et obtenir gain de cause n’est pas toujours pratique quand on a besoin de se défouler sur l’autre.

L’absence de demande est le signe que l’énergie demande à sortir et cherche son défouloir. Sa cible. Celui qui prendra et pensera qu’il le mérite. Donc qui continuera à recevoir la colère sans remettre en cause l’émetteur. Dès que l’énergie en attente, là à l’intérieur, sent en face une énergie du doute facile, de la sensibilité, elle s’engouffre. Le système se créé d’un coup. Hop. Et il est probable qu’il se renforce à mesure que le temps passe. Car la proximité le renforce.

 

La nécessité de la proximité

C’est justement parce qu’on est proche de quelqu’un qu’il va nous utiliser pour renvoyer à l’extérieur ce qu’il ne veut pas rencontrer à l’intérieur. La distance ou l’éloignement affectif ne permet pas facilement les systèmes. C’est dans la proximité et l’attachement, l’attente, la confiance qu’il se créé.

Un père n’humilie pas son supérieur ou son boulanger. Il humilie celui qui lui est proche, son enfant, parfois sa femme (et inversement). Sa femme qui l’aime et qui attend de lui, donc qui est dépendante de lui. Son enfant qui a besoin d’être aimé et qui croit tout ce qu’on lui dit, donc qui lui donnera crédit, et culpabilisera de ne pas être, apparemment, assez.

Tout cela est normal. C’est ainsi. Ce qui est refoulé, non digéré, non accueilli, cette énergie coincée cherche à s’échapper. En revivant la même douleur, ou en la lâchant sur quelqu’un d’autre. Proche si possible.

On peut bien sûr retrouver du système avec des étrangers. Mais à moins que ça n’appuie sur « l’empreinte », la tentative de système fait souvent pschitt. Ceci dit, avec une bonne empreinte, même l’étranger peut créer le système !!

 

L’étranger peut être un activateur

Je l’ai expérimenté quand j’accompagnais les créateurs d’entreprise dans leurs prises de contact avec l’administration française. Dans cette dépendance à l’administration, dans cet état souvent de fragilité où le système salarié les avait fait douté d’eux-mêmes, ils avaient besoin de bienveillance et d’amour, et de sécurité. Ce besoin les rendait des proies faciles pour tout fonctionnaire zélé et frustré. Ils se retrouvaient ainsi, parfois après 20 ans comme cadre dans une grosse boite, à être traités de façon humiliante et condescendante par des « administratifs’ de la Chambre des Métiers, la Dirrecte, etc. C' »tait des expériences traumatisantes pour eux. Certains s’effondraient. D’autres plongeaient dans une profonde colère. Bien sûr ils ne connaissaient pas leur interlocuteur. Il n’y avait pas de proximité. Mais la dépendance était créée d’emblée par leur peur de cette autorité capable de valider ou pas leur aspiration. L’instinct chasseur du fonctionnaire trouvait alors sa proie pour lâcher son amertume.

J’ai pris beaucoup de plaisir à rétablir l’équilibre énergétique avec mes clients alors. Prendre ces personnes au téléphone et ne laisser aucune faille dans le système, les laisser avancer leurs pions puis renverser la machine. J’ai kiffé ça. J’avais l’impression de jouer une partie d’échecs avec 10 coups d’avance. Bref.

Dépendance, attentes sont la signature d’une ouverture à un système.

Cette énergie est la lampe qu’on allume dans une chambre et qui attire les moustiques. Il y a doute facile ici, je vais m’y engouffrer. C’est humain. Car nous avons tous des refoulements à compenser. Des sensations de pouvoir qui demandent à être ressenties pour compenser notre sensation d’impuissance. Ou d’insuffisance.

Comme d’habitude, la question échoue sur celui qui reçoit.

 

Fuire quand on est si proche…

Pourquoi ne fuit-on pas ? Pourquoi ne prend-on pas acte ? Tiens, c’est humiliant et jugeant ici, je me casse. Ou a minima je retire l’énergie. Je ne rentre pas dans le système. Pourquoi se soumets-on sans même s’en rendre compte ?

C’est là la difficulté.

Et effectivement, dans la proximité, comment fuir alors que la personne nous aime ? Car on en attend de l’amour. Du respect. De la compréhension. C’est au delà de l’attente d’ailleurs. Le postulat est qu’elle donne cela. Quand on n’attend rien, ou quand le postulat est autre, l’affaire est faite : on voit que ça ne donnera pas, le système ne peut se créer, l’autre ne peut déverser sur nous son système de compensation, bye bye (comme moi avec l’administration, je ne ressens aucune dépendance… donc je m’autorise ce que je veux).

Mais, quand on attend de l’autre… Quand on espère de l’autre… Quand on donne tant crédit à l’autre…
Quel pouvoir nous lui laissons sur nous !

Comment réagirions-nous si on nous disait, enfant, ou grand : le mec que tu aimes, ou ta maman, ne peut s’empêcher de créer un rapport de pouvoir avec toi, ou de te faire subir l’humiliation qu’il a vécu enfant pour compenser. Et tu sais quoi ? C’est humain. Et sans doute, il t’aime. En même temps…

C’est une loi énergétique. Nous cherchons à faire sortir l’énergie bloquée en nous. L’accueil nous a longtemps été interdit. Nous compensons comme nous pouvons. Là où nous sommes proches. Là où c’est dépendant. Ou ça fait confiance.

 

L’effet de l’empreinte face à un étranger

J’en reviens à mon histoire.

Alors pourquoi cette personne que je connais si peu m’a mise en système avant même que je m’en rende compte, puisqu’elle n’est pas proche ?

L’empreinte.

L’empreinte, c’est quand l’énergie d’une personne, sa façon d’être, nous renvoie à quelque chose déjà vécu dans l’enfance. Comme nous en avons déjà parlé dans Situations récurrentes Quand l’émotion originelle nous aveugle, cette émotion originelle, ce système originel ici fait écho au système proposé. Tant que le système originel n’a pas été vu, compris et reconnu, ce système se déploiera par ailleurs dans notre vie pour en faire à nouveau l’expérience et mettre, peut être, enfin, de la conscience.

J’ai vraiment reconnu que je me pliais à la pensée de l’autre. Que je l’absorbais. Que je la prenais pour supérieure à mon ressenti. Et j’ai vraiment expérimenté cette incapacité à me distancier. Je me sentais clairement insuffisante par rapport à la force et à l’assurance de cette personne qui semblait exiger quelque chose, et franchement, c’était bien son droit. Mais je m’y pliais.

L’empreinte ici, c’est mon frère.

 

Le test express

Il y a un test rapide que je fais chaque fois que je suis confrontée à une situation, pour voir qui est le créateur du système.

Une personne qui créé un système, donc qui compense son refoulement intérieur, ne souhaite pas mettre de lumière sur le système en cours. Elle peut le nier ou en accuser l’autre, mais une chose est sûre, la pire chose serait de mettre de la lumière.

Donc le test absolu, c’est de se demander si elle paierait 100 balles ou ferait 100 bornes pour que quelqu’un l’aide à mettre de la conscience sur ce qui se passe dans sa relation avec l’autre.

Si intuitivement, on sent que « no way », c’est qu’elle fuit quelque chose. Elle sait, quelque part, que l’autre lui sert (un peu ou beaucoup) de fusible. Et c’est ok, nous le faisons tous, à une échelle plus ou moins grande.

Dans tous les cas, c’est parfait, mais ça permet de se positionner un peu mieux face à l’autre.

Bref, si je résume, dans ce système qui se créé, mon « empreinte » du système précédent datant de l’enfance me fait plonger à bras raccourci dans le système uniquement « potentiel » de l’autre. C’est moi qui l’active finalement, en lui disant oui.  Dès lors qu’il sent l’ouverture, il s’engouffre, et c’est le cas pour nous tous.

Nous avons tous un système prêts à se réveiller pour soit ressentir un pouvoir sur l’autre, une force, une domination, un écrasement, soit ressentir une demande, une supplication, une soumission. Certains sont plus dans la prise de pouvoir, d’autres sont plus dans la soumission.

Bref, le système « compensatoire » est plus ou moins fort chez chacun d’entre nous, selon l’état des refoulements et des souffrances. Plus le refoulement est fort, plus la souffrance l’est et plus le système sera fort.

Est-ce un problème ?

Le refoulement n’est pas un problème … si on est prêt à payer 100 balles pour mettre de la lumière dessus. Celui qui compense ne va pas chercher généralement d’aide à l’extérieur. Car il se sent plutôt bien dans la relation. C’est celui qui sert de fusible qui se sent mal. Et qui donc aura tendance à chercher de la conscience. Ce qui se joue, là.

Pour lui, le système qui se met en place et la souffrance qu’il génère sont l’occasion d’aller chercher l’empreinte d’une autre système, plus ancien, que l’on a subi, et auquel on a dit oui. Là, on peut mettre de la conscience dessus. Ressentir de la colère rétroactivement. Et surtout mettre de la compassion pour la souffrance vécue et son injustice.

 

Pour conclure

Se rendre compte en live ou juste après qu’on se soumet au jugement (supposé) de quelqu’un, c’est une grande victoire. Comprendre pourquoi, à quelle empreinte cela fait référence, en est une deuxième. L’émotion qui jaillit à ce moment-là, quand on s’assoit, est libératrice.

La seule question alors est : mais à qui cette personne me fait penser ? Avec qui je me suis déjà sentie comme ça ? Et ça sortira 🙂

 

Observation 1

Avec qui êtes-vous dans une relation où vous vous sentez mal ? Tendu ? Fébrile ?

La personne en face de vous serait-elle prête à mettre 100 balles pour comprendre ce qui se joue avec vous ?

Et vous, le feriez-vous ?

 

Observation 2

Observez l’implicite chez l’autre, ce qu’il sous-entend, par les mots mais aussi par la façon, l’attitude, les silences.

Que signifie t-il ? Qu’entendez-vous qui vous met en état de mal-être ?

Observez qu’il y a une part de vous qui se soumet à ce jugement, cet implicite.

Sentez l’empreinte. Qui vous a fait ainsi sentir dans votre enfance ?

Accueillez l’émotion 🙂

 

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