Il y a un système intéressant au niveau des addictions et de toute situation qui nous pèse et nous rend dépendant. Certaines situations, relations, nous font baisser notre fréquence vibratoire au bout d’un moment d’exposition. Ca peut être une relation de couple, une relation de travail, une situation de travail, d’école, un moment avec un groupe, un lieu, un aliment.
Quand notre fréquence vibratoire baisse en suivant la fréquence de ce qu’il y a en face ou autour, elle s’accorde. Cette « égalisation » ou ce nivellement par le bas permet aux deux énergies de se rencontrer et de créer un lien. L’énergie cherche toujours un lien, une résonnance. C’est le principe de l’attraction.
Quand le lien se créé, il a un effet anesthésiant, donc de dépendance. On commence alors à se nourrir ou à s’accrocher à ce qui nous maltraite, sans pouvoir s’en éloigner. Car en attendant nous sommes maltraités par la baisse de fréquence. Nous nous sentons de plus en plus mal. Mais nous ignorons pourquoi. Et en tout cas, comme un lapin dans les phares : ça fait mal, mais on est paralysé… ou dépendant aux phares !
C’est quelque chose que l’on peut observer dans nos relations : il y a, je ne sais pas si vous l’avez remarqué, un « temps d’exposition » limité que nous avons avec chaque personne. Certains 5 mn, d’autres 3 heures, d’autres 3 jours. Passé une certaine durée, nous commençons (avec certaines personnes ou selon ce qui se joue dans la relation) à perdre quelque chose. C’est la fréquence vibratoire qui baisse… Il faut s’éloigner alors !
Ce qui est intéressant ici, c’est que ce phénomène explique pourquoi il est difficile de se débarrasser de quelque chose qui nous fait du mal de façon évidente. Le quelque chose tire la fréquence vers le bas, la résonance s’installe dans la basse fréquence, et tant que nous sommes en résonance instantanée, nous ne souffrons pas. La résonance énergétique masque la dureté de la basse fréquence. Mais dès que nous sortons de la résonance, nous nous retrouvons confronté à une fréquence qui n’est pas notre fréquence normale, et nous sommes mal.
Par exemple nous sommes attirés par un aliment, comme le sucre ou le gluten, qui de toute évidence nous fait du mal, mais tant qu’on est dedans, en lien avec, la souffrance est comme amortie, anesthésiée. Dès qu’on arrête, on se retrouve face au mal-être.de la basse fréquence. Si nous nous éloignons pendant quelques jours, la fréquence remonte. Et si nous restons suffisamment dans cette fréquence, nous ne ressentons plus d’attirance soudain pour le gluten, la clop, ou la relation / personne. Car l’attirance est en lien avec la basse fréquence, donc l’exposition, donc le temps.
La mauvaise nouvelle est qu’il est difficile de se débarrasser de quelque chose qui nous fait du mal. Il est difficile de s’en éloigner, d’y renoncer, de s’en séparer. Psychologiquement, énergétiquement, nous pouvons être « piégé » : lapin dans les phares, mental qui panique, peur de la solitude, etc. .
La bonne nouvelle, c’est que si on s’éloigne, même de façon très temporaire, du lieu, de la situation, de la personne, de l’aliment, la fréquence vibratoire peut remonter très vite. Dans les 10/20 mn quand il s’agit d’un lieu ou d’une personne. Plus pour ce que l’on consomme, peut être un jour. La montée de la fréquence éclaircit la pensée. Le mental est moins oppressant. La tyrannie du manque ne nous affecte plus autant soudain…
Dans cette expérience d’éloignement, surtout quand elle est durable, on observe parfois que là où on pensait ressentir du manque, du non nourrissement, de la solitude, du vide, on se retrouve à ressentir de la liberté, de l’espace, de l’affranchissement. C’est la non-dépendance. Je pense ainsi à nombre de femmes coincées dans une relation de couple, dans un lien énergétique anesthésiant, et en dépendance, n’arrivant pas à se séparer par peur d’être seules. Et puis un jour la séparation a lieu. Et elles découvrent dans cette nouvelle vie qu’il n’y a aucun manque. Juste une énorme respiration. La fréquence remonte. Parfois l’autre expérimente l’inverse. C’est que l’un nourrissait l’autre de sa fréquence. Parfois c’est les deux qui expérimentent la même chose, c’est que c’est la relation qui plombait la fréquence…
L’addiction à la bouffe, au gluten par exemple, est dans la même opérance. Je mange des pâtes, des pizzas, je ne peux pas envisager de m’en passer, je suis attirée par le poison, et le poison me fait du bien dans l’instant. Mais dès que je suis hors poison, je me sens mal. Je ne fais pas l’association entre gluten et mon état d’être moyen, et je me sens réconfortée, nourrie par mon bon plat de pâtes ou de pizza. Mais en fait cela entretient ma basse fréquence vibratoire, ldont je m’échappe très transitoirement dans ma relation énergétique avec l’aliment qui me nourrit et m’anesthésie. On a un effet similaire sur le fait de scroller sur les réseaux sociaux. Tant qu’on scrolle, ça va. Mais après, on se sent mal. Et on y retourne. Les écrans ont globalement cet effet. Ainsi pour m part, à un certain niveu d’exposition aux écrans, je commence à sentir ma fréquence baisser et mon corps se dérégler énergétiquement. Mais, bizarrement, tant que je regarde l’écran, je ne ressens pas le mal-être vraiment. C’est dès que j’arrête que c’est l’enfer. Donc une part de moi a très envie du coup de me remettre sur l’écran pour calmer cette douleur… et si je succombe à l’invitation, je vais le payer encore plus cher derrière.
L’autre option, c’est d’accepter que je me suis grillée avec l’écran en ne respectant pas mon temps d »exposition » et attendre que ça remonte.
Cela fonctionne avec à peu près tous les poisons, quel qu’il soit.
J’ai vécu des situations en groupe vraiment intéressantes de ce point de vue là, je pense en particulier à mes dernières expériences de jobs alimentaires ou à une expérience que j’ai racontée avec un éco-lieu de Brocéliande. Le jugement, la pensée négative, la posture mental génèrent mathématiquement une baisse de la fréquence vibratoire. On est dans le groupe, on commence à ne pas se sentir bien, mais on n’arrive pas à s’arracher de l’endroit, au groupe. On est en dépendance, il y a une liaison énergétique entre les deux fréquences qui se rencontrent, l’exposition suffisamment longue (quand on est hypersensible, pas besoin qu’elle soit bien longue tellement on est aveugle !) a fait son œuvre pour égaliser les fréquences par le bas.
Ainsi, dans mon dernier travail (je servais sur des mariages, j’adorais ça ceci dit), j’avais été étonnée de souffrir autant pendant des heures en relation avec mes collègues, et de sentir un détachement et un bien-être aussi instantanés dès que je m’étais éloignée (définitivement ceci dit puisque j’avais planté le mariage). C’est là où la vibration remonte le mieux : quand la sortie est définitive… ou quand on se réserve la possibilité qu’elle le soit ! Je suis est aux manettes quoi.
L’éloignement est donc une clé pour évaluer en quoi l’exposition génère une baisse de fréquence. SI dès qu’on s’éloigne, on se sent mieux, il y a un effet de fréquence. Notez aussi que quand la fréquence vibratoire remonte par l’éloignement, l’esprit s’éclaircit. Cela peut permettre d’avoir une meilleure conscience de ce qui se passe, et surtout de prendre des décisions de rupture.
En revanche, si la conscience ne s’est pas déposée dans l’histoire, si le mental me met dans l’injonction « je dois » « oui mais » etc. on peut ne pas ressentir le soulagement car l’inconscient le vit comme un échec. Or rien n’est obligatoire. L’univers soutient Je suis, c’est tout.
Le malheur est que nous prenons souvent la manifestation de Je suis pour une incapacité adaptative… donc une faiblesse. C’est l’inverse.