Dans l’article Kundalini | La force guérisseuse, je parle de cette découverte que notre énergie vitale, la Kundalini, n’est pas seulement une énergie qui nous connecte et nous amène à la conscience, mais aussi et surtout une énergie de guérison.
Il y a tout un circuit de guérison qui tourne autour d’elle, et qui, sans qu’elle soit toujours mentionnée ou même conscientisée, est au coeur de la plupart des thérapies et méthodes de guérison que l’on dit énergétiques, y compris très anciennes comme le chamanisme.
Nous pouvons choisir de nous engager dans ce processus de libération qu’elle tente d’opérer en nous, pour nous mener à notre vrai moi, Je suis. Ou nous pouvons ne rien en faire. Mais pour ceux qui sont déjà activés, ce serait folie qu’en rester là. Car elle gigote, plus ou moins fortement selon les personnes, et quand la résistance est forte, l’affrontement l’est aussi. Pour ceux qui ne sont pas titillés par la Kundalini, c’est la vie qui l’appellera.
Le principal obstacle à l’œuvre libératoire de la Kundalini, c’est la résistance de notre mental, l’ampleur des blessures traumatiques émotionnelles et l’enkystement de notre corps physique incapable de laisser circuler l’énergie.
Dans le 1er article, je parle des briques qui aident le processus libératoire de la Kundalini. Ici je les présente de façon plus détaillée.
Pour rappel il s’agit donc de :
- Aider à la circulation d’énergie dans le corps (Kundalini)
- Mettre en perspective le mental, le déconstruire
- Libérer les nœuds émotionnels et énergétiques, les blessures
- Se relier à un champ de conscience plus grand, l’unité
Et puis il y en a une cinquième, qui est essentielle, mais non traitée ici, c’est la brique corporelle : désinflammer le corps et revenir à une alimentation non-inflammatoire, ce qui influe énormément sur le ressenti et l’état existentiel. Un corps inflammé ne laisse pas l’énergie passer correctement et disfonctionne au niveau neuronal intestinal. Cela génère angoisse, dépression, anxiété, coupure, bipolarité, etc. D’ailleurs jeûner donne paraît-il des crises mystiques, c’est simplement que l’énergie réussit à nous traverser pleinement. La conscience divine (ou du soi) descend alors. C’est une démarche à part entière.
Trois pistes avant les briques
Trois pistes avant d’aller dans les briques.
Accepter de laisser l’énergie faire son œuvre : accepter de laisser l’énergie faire son oeuvre, la laisser guider , la laisser remonter les émotions. Là laisser nous confronter. C’est la rencontre entre Kundalini et résistance mentale et corporelle qui génère la souffrance. La souffrance a donc une fonction. Quand nous sommes 100 % habités par le mental, nous ne sommes pas en souffrance ou c’est enfoui. La souffrance est donc une bonne nouvelle, c’est qu’une déconstruction est en cours pour notre plus grand bien. Plus nous l’acceptons, plus elle sera rapide et transitoire. Si nous l’accompagnons…
Se connecter à un champ de conscience supérieur : si la Kundalini nous libère des émotions et blessures enkystées, nous avons besoin de nous connecter à un champ de conscience supérieur pour nous dissocier de la part souffrante et ne pas résister à l’énergie (cause de la souffrance). Nous avons donc besoin que le moi supérieur prenne la main parfois, donc de s’attacher à des pratiques de connexion au tout : méditation, prière, mantra, se connecter au champ d’énergie de quelqu’un connecté lui-même.
Prendre acte quand ça ne marche pas : nous sommes tous différents. Nos résistances aussi. Toutes les pratiques ne nous sont pas adaptées. Nous n’avons aucune chance de bien soutenir notre processus si nous ne prenons pas acte quand une pratique, une méthode ou un thérapeute ne nous impacte pas. Nous prenons souvent la lenteur de nos démarches thérapeutiques personnellement en nous accrochant pendant des mois, des années, à quelque chose qui ne s’attaque pas là où ça résiste. Ainsi, il est inutile de faire du Tantra ou du Yoga Kundalini pendant des années si la peur mentale de lâcher-prise n’a pas été dissoute par la conscience ou la libération émotionnelle. Parfois le prix nous rassure, ou le thérapeute parce qu’il semble s’y connaître ou avoir confiance en ce qu’il fait. Mais nous ne sommes pas là pour rassurer notre mental. Nous sommes là pour sentir si quelque chose a lieu en nous, ou pas. Qu’un espace s’est créé. Ce qui marche chez l’un ne marche pas chez l’autre. Ce qui a marché peut ne plus marcher.
Activer la circulation
d’énergie dans le corps
La circulation d’énergie est ce que nous privilégions souvent en premier dans le soutien au processus parce que c’est agréable et que ça ne nous confronte pas directement ni aux émotions, ni à notre carapace mentale (sauf exception pour certaines personnes qui n’aiment pas ça, j’en ai vues !). C’est une voie à investir pour le plaisir pendant, et le bien-être sur une plus longue durée (émotionnelle, psychique). Mais il est important de travailler en parallèle les émotions, le mental et la conscience sinon on reste ce que j’appelle un hamster énergétique : l’énergie circule dans le corps mais on continue à pédaler dans le tunnel. Je vois beaucoup de gens dans ce cas de figure : l’énergie circule dans le corps et on peut la sentir car ils ont des pratiques, mais ils ne sont pas connectés à Je suis, à la conscience. Ils restent dans un personnage. C’est moins sexy en termes de rayonnement. Nous avons tous un problème de rayonnement d’ailleurs. La question est de réaliser que la circulation d’énergie ne fait pas tout.
Comment soutenir cette brique ?
- Les pratiques énergétiques et méditatives
Le yoga Kundalini est une voie évidente, qui active aussi bien l’énergie qu’il la fait circuler. Il peut être pratiqué à distance ou en présentiel, et il y a souvent un avant et un après en termes de circulation d’énergie. Mais là encore, tout dépend des résistances.
D’autres pratiques ont l’art de faire circuler l’énergie : le QI Gong et le Tai Chi par exemple, ou le Wu Tao. Mais aussi la danse, les massages, le tantra. Le yoga classique dans une certaine mesure : il n’active pas l’énergie mais la diffuse (si elle n’est pas activée avant, ça ne change pas grand chose, mais c’est super agréable).
La méditation peut faire circuler l’énergie, mais pour les hypersensibles, il est conseillé de faire circuler d’abord l’énergie (yoga K, pranayamas/respirations). C’est le principe des Kriyas yogas, une combinaisons de pratiques énergétiques et méditatives séquencées pour aboutir à la méditation. Il existe des protocoles comme AYP ou dans le livre de Santatagamana « The secret power of kriya ». J’ai un kriya maison aussi que je transmets aux personnes qui compagnonnent avec moi. Mais à chacun sa sauce dirais-je ! - Stages : si vous avez un peu d’argent, faites vous plaise avec de stages de tantra, chamanisme, yoga Kundalini, il y a pléthore. Si vous n’avez pas d’argent, youtube devient votre meilleur ami. Je remarque que ceux qui bossent tous seuls ont souvent de meilleurs résultats que les autres, sans doute parce que la pratique n’est plus dépendante d’un évènement ou d’un thérapeute et qu’elle a lieu régulièrement.
- L’acupuncture. C’est un bon complément selon moi au début car elle permet de faire circuler l’énergie en débloquant dans la durée. Y aller une fois par mois ou tous les deux mois pendant un temps est une bonne option, surtout si on est bien en souffrance. Mais il faut avoir l’argent…
- Les soins individuels : kundalini, chamaniques, énergétiques, massages, reiki, etc.
Certains soins peuvent être faits en auto-soin : le soin Lahochi est accessible facilement. Le breathwork (il suffit d’en faire un en ligne payant et de récupérer le replay, ou de faire seul). Le grall, c’est l’auto-soin Kundalini. Mais la vague guérisseuse kundalinique ne viendra que si nous sommes déjà « activés » sur ce plan. Voir alors les stages de PIerre Pinçon.
Certaines pratiques dont circuler la Kundalini à distance de façon collective sur le net : les sessions de KAP ou Innerdance ou les breathworks (Lucille Fauque) quand ceux-ci sont guidés en ligne. Il peut être intéressant de les faire régulièrement pendant quelques mois. Il y a un budget (25 à 35 € la session).
Il y a aussi des soins énergétiques puissants en ligne : Luc Bodin, Pure sound expérience, etc. A chacun de trouver ce qui l’impacte le plus.
NB : je crois, sans être certaine, que les soins en ligne ne fonctionnent que quand nous les sentons énergétiquement, donc à voir en début de processus, quand on est encore peu énergétique, si ça impacte.
Avec un thérapeute : là aussi, ça ne peut être que ponctuel puisque notre budget est limité, mais quand c’est l’heure parce que ça souffre, nous avons besoin de présence. Je propose un soin Kundalini avec un prix en conscience, mais il existe de nombreux thérapeutes intervenant sur la Kundalini : Anne-Marie Forget, Pierre Pinçon, Emmanuel Denis (chamanisme celtique), etc.
Toutes ces pratiques ouvrent notre intérieur progressivement à l’énergie. Plus elle circule, plus la libération émotionnelle et énergétique, la déconstruction de l’égo et la sensation trippante de Je suis viendront rapidement, même si tout cela prend de toute façon un temps.
Déconstruire le mental, diminuer son emprise
Chaque fois que le mental s’absente de notre corps, c’est une victoire pour notre processus car l’espace s’ouvre alors pour l’énergie donc la libération. Parfois, l’emprise du mental génère une véritable souffrance, surtout quand son discours sonne comme une malédiction ou une condamnation. Il devient alors urgent de diminuer son emprise et de s’en dissocier. Il y a donc deux voies pour s’y attaquer : pratiquer une activité pour ne pas lui donner d’espace en nous maintenant dans le flow ou la sensation vibratoire, le corps. Ou s’y attaquer directement et le déconstruire, le déconditionner.
- Les méthodes autonomes de dissociation du mental : observer ses injonctions, ses croyances, sa résistance. Comprendre ce qui se passe dans l’expérience, challenger ce que notre mental nous dit. Bref, se dissocier du mental, c’est à dire envisager que nos pensées puissent raconter en fait potentiellement des conneries. C’est particulièrement important pour ceux qui ont un mental exigeant, oppressant, dévalorisant et injonctif comme les hypersensibles.
Il est intéressant de noter que pour ceux-là, la dissociation avec le mental est un vrai soulagement. Pour les autres, la dissociation avec le mental génère un état de panique car il est construit pour les protéger, pas les oppresser. Chacun sa croix…
Travailler sur le mental peut être fait en autonomie (outils dans le programme d’Autonomisation) et avec un thérapeute, en groupe, un mantra, etc. - Les méthodes thérapeutiques par la parole : coaching, Trame, Focusing, Psycho Corporel, analyse transactionnelle, PNL, hypnose, etc. Ces séances thérapeutiques peuvent avoir un effet de dissolution ou déconstruction du mental… si la méthode tient compte de l’existence du mental et si le thérapeute peut faire la différence entre mental et vérité de l’Être. J’ai remarqué que ce n’est pas souvent le cas, en tout cas il faut qu’il ait un ressenti énergétique pour cela. Certains thérapeutes peuvent écouter le mental de leur patient se déverser pendant des années sans moufter. Le mental ayant un pouvoir de guérison proche de zéro, c’est un gros budget et un gros investissement en temps pour arriver à… rien. Certaines méthodes s’appuient du coup sur la réaction du corps (qui ne ment pas), contrairement au mental. C’est le cas des thérapies psycho-corporelles comme le focusing.
- Les pratiques qui stoppent l’emprise du mental : la méditation bien sûr (donc le kriya yoga pour les hypersensibles) mais aussi toutes les pratiques qui réancrent dans le corps : le bricolage, la danse, l’ASMR, le dessin, le yoga, l’écriture, la contemplation de la nature, la marche, la musique, la couture, l’art, certains sports, etc.
Ces activités ne sont pas « déconstructives » en soi mais en arrêtant le mental, elles créent l’espace pour que l’énergie guérisseuse puisse prendre sa place et que le vrai moi affleure. Parfois, l’emprise du mental peut devenir une souffrance physique et les méthodes plus radicales deviennent nécessaires. - Il y a aussi quelques pratiques plus radicales quand l’emprise devient oppressante : les douches froides et le jeûne sont des méthodes intenses pour faire lâcher le mental, ainsi que la pratique d’un mantra. On peut conseiller aussi, si emprise il y a, d’observer ce qui maintient la fréquence vibratoire aussi bas car le mental « oppresseur » a une fréquence vibratoire basse qui s’installe quand nous sommes fragilisés par quelque chose que nous ne voyons pas toujours : relation, alimentation, situation, emploi, environnement. L’alimentation est une clé en matière de fréquence vibratoire. D’ailleurs le jeune ou quelques jours de jus ou de fruits et légumes font toujours remonter la fréquence vibratoire et l’emprise s’éteint… En cas de crise, le jeune sec ou la purge à l’huile de ricin sont une voie également possible;
- A un certain niveau d’emprise et donc d’anxiété, je conseille de faire appel à un thérapeute énergéticien pour revenir dans le corp, faire circuler l’énergie et mettre de la conscience (c’est à dire déconstruire).
La libération émotionnelle et énergétique
Il y a beaucoup d’espaces de soins énergétiques dans le bien-être, mais pas toujours focus vraiment sur les émotions. Pourtant, je trouve qu’une libération émotionnelle est beaucoup plus puissant qu’une simple libération énergétique, dans le sens où elle amène un soulagement et surtout un mouvement de conscience derrière que je trouve plus aléatoire avec la pure énergie. Mais bon, c’est un avis qui se discute …
Quand nous sommes en présence avec l’émotion, quand nous la ressentons pleinement, c’est véritablement avec notre âme que nous dealons. Il y a alors un shift qu’on ne retrouve pas ailleurs… On pourrait dire en quelque sorte que l’énergie peut sortir par plusieurs canaux mais qu’elle a un canal « d’origine » qui est le canal de l’émotion. Quand ça sort par le corps, ça soulage. Quand ça sort par le canal « d’origine », l’émotion et son expression, il y a transformation.
- La première clé est la présence à l’émotion. Chaque minute. Accepter de ressentir des émotions et leur accorder toute notre attention, quelque soit l’interlocuteur ou la situation en face. Dès qu’elle est là, s’arrêter, s’immobiliser, la respirer et la reconnaître. Quelques secondes. Plus facile à dire qu’à faire, mais c’est un entraînement. Les enfants le font facilement puisqu’ils la vivent dès qu’elle est là. Après ça se gâte…
Pleurer la tristesse et exprimer la colère sont les meilleurs moyens de libérer les émotions. Dans notre environnement, nous pouvons créer les espaces dédiés pour cela, car nous ne pouvons plus le faire comme quand nous étions enfants. Et pourtant, tant que ça ne sort pas, les émotions nous bouffent de l’intérieur et l’énergie bloquée créé les futures maladies chroniques.. Créer l’espace, c’est ritualiser un temps où on ressent le corps, où on respire dedans, et où on se demande comment on se sent. Souvent, on a besoin de vivre un peu d’accompagnement ou des stages sur ce point pour se mettre en route. - Il existe de nombreux outils et méthodes qui permettent de libérer des émotions coincées ou refoulées en autonomie, je ne vais pas tous les lister ici (ils sont détaillés dans le programme Autonomisation | Outils de libération émotionnelle et énergétique). En voici quelques uns : l’harmonisation globale, la pratique de surrender, l’EFT, l’EMDR, Nourrir mon démon intérieur, etc.
- Quand la Kundalini est activée, les auto-soins de Kundalini peuvent être extrêmement libérateurs. On peut les aider de respirations, mouvements corporels, musique… Bref, il y a tout un monde de guérison à explorer en autonomie.
- Le soin Kundalini avec un thérapeute : le soin Kundalini avec La Piste, Marie Bran à st Malo, Pierre Pinçon à Saint Brieux des Iffs, ou Anne Marie Forget à Plouasne.Les séances individuelles de respiration holotropique ou chamanique peuvent produire le même effet de montée de Kundalini.
- Evidemment les soins et séances avec un thérapeute qui travaille sur la libération émotionnelle..
- Les espaces de groupe (stages) avec des techniques qui jouent sur l’état de conscience : Breathwork, Musique, Plantes, Pratique tantrique ou chamanique, Respiration holotropique (Stéphanie Kerleroux à Saint Jouan), Rebirth, Ayahuasca, Diètes chamaniques (voir sur Internet).
Renforcement du moi, conscience, unité
Pour les profils bipolaires, hypersensibles durs, haut-potentiels, qui subissent les contractions kundaliniques sans en voir la fin, ou qui la voient mais en bavent un peu, il est important de ne pas s’appuyer uniquement sur la circulation et la libération émotionnelle ou énergétique mais d’associer une pratique de conscience, d’unité pour tirer vers le haut et maintenir une fréquence vibratoire suffisante, ce qui permet de se dissocier de la part souffrante et mentale, et de moins la subir. Cette connexion est difficile à conquérir car elle ne s’offre que dans la durée d’une pratique souvent quotidienne. Qu’elle soit là ou pas, le processus fera son œuvre, mais avec c’est mieux 🙂
- Donc, quand vous abordez des rivages de désespoir et d’impuissance, sans voir de fin, pratiquer un mantra quotidiennement, matin et soir, est une clé. La méditation peut avoir la même fonction, mais pour les profils très énergétiques, nous l’avons vu, le mental est trop actif (dopé qu’il est à l’énergie bloquée) pour permettre l’apparition du moi supérieur, de la conscience.J’ai expérimenté le mantra Nam Myo Ho Renge Kio (bouddhique) dont j’ai déjà parlé (voir Comment le mantra m’a sauvée) mais d’autres mantras peuvent être explorés, comme le gayatri mantra (voir Ashram du coeur de PIerre Leré). Le mantra, pratiqué régulièrement a cet effet de nous détacher de la basse fréquence du mental (et de l’illusion ici bas). C’est très soutenant (certains commencent à parler comme Maître Yoda après quelques semaines de pratique), mais cette pratique a besoin d’être régulière pour bénéficier (d’où l’importance d’être dans un groupe de pratique). Elle devient souvent régulière quand on se retrouve en souffrance trop longtemps (tout l’intérêt de la crise…).
- Les prières, les chants de dévotion, toutes les pratiques spirituelles qu’elles soient catholiques, musulmane, juive, hindoue, tantriques, ou protestantes aident à remonter la fréquence et à toucher l’unité. La régularité est un plus. De manière générale, on peut acter que cultiver la reliance à plus grand chaque jour est un grand booster dans le processus de libération. Le mental prend moins de place, l’énergie circule mieux et la « magie » des synchronicités, des hasards, des « miracles » semble opérer nettement mieux que quand on laisse le mental diriger !
- La présence d’une personne connectée à ce qu’on peut appeler the spiritual heart, ou la conscience universelle, peut générer un effet d’unité. Cet effet peut même fonctionner par vidéo et sans besoin d’être en live. C’est le principe du maitre ou guru indien 🙂 Sa simple présence provoque conscience et unité. La première vidéo du film Samadhi ou John Butler me font personnellement cet effet, ainsi que l’album Salam de Diam’s (l’outil Numéro 1 je dirai). Je semble faire cet effet aussi, mais je ne l’ai pas expérimenté directement.