Moldus vs handicapés | Viendez nous rejoindre !
La rencontre entre moldu et bipolaire, schizophrène et autiste,
La rencontre entre moldu et bipolaire, schizophrène et autiste,
Comment j’ai vu ma mère en flagrant délit de toxicité avec moi, et comment j’ai réalisé que j’avais choisi d’y entrer pour ne pas voir sa faiblesse.
Le mental au service de l’égo est compensatoire. Il refuse les expériences et tente de compenser au lieu de libérer. Le sacripan.
Tout est juste.
L’univers nous prépare à être la personne qui va vivre ce à quoi nous aspirons. En cela, il nous fait passer par des expériences d’échecs, de difficultés, qui vont nous apprendre qui nous sommes et nous débarrasser de nos nœuds, de notre karma.
Dans cet article, je parle de comment ce que nous demandons aux autres et à la vie parle de ce que nous ne nous donnons pas à nous-même. Et comment nous cherchons compensation à l’extérieur à défaut de se donner à soi. Et c’est bien légitime, mais il y a une autre posture beaucoup plus efficace pour obtenir.
Il y a un an comme ça, j’ai réalisé que je demandais aux autres de combler mon manque d’abondance. Pas ouvertement mais dans ma posture intérieure. Donc dans l’énergie. Clairement, ma mère devait le ressentir quand nous discutions puisque elle se faisait un devoir de ne jamais y répondre.
Certaines situations, relations baissent notre fréquence vibratoire après un temps d’exposition. Ca peut être une relation de couple, de travail, une situation, un aliment, une substance. Quand la fréquence baisse, un plug énergétique se créé avec l’autre. ON est dépendant au plug énergétique. On est addict au poison qui nous soulage dans l’instant mais nous diminue dans la durée.
L’inflammation chronique du corps empêche l’énergie de circuler. Bizarrement, la bouffe y est pour beaucoup. D’ailleurs le jeûne est une pratique qu’on retrouve dans toutes les religions, et ce n’est pas un hasard. Dès qu’on jeûne, on connecte. Quand on est inflammé, on angoisse, on devient fébrile.
La matrice, c’est ce que véhicule l’inconscient collectif et l’ADN de notre société depuis des centaines d’années, voir des milliers d’année, et qui nous imbibe depuis l’enfance, à travers nos parents, l’école, notre environnement, nos interactions sociales. La matrice sociétale définit l’humain. Elle définit ce qu’est un humain : ses besoins, sa nature, et contribue…
J’ai accompagné K. il y a quelques temps. K. est quelqu’un de très posée, clairvoyante et tolérante. Elle est sage. Mais en vérité, elle est souvent en effort parce qu’elle ravale. Elle ravale et ne se met pas en colère. Elle tient bon. Sa colère n’est pas palpable. Ce n’est pas comme la peur que…
Nous avons des besoins. Il y a ceux que l’on croit devoir remplir pour être heureux. Et ceux qui nous nourrissent vraiment et durablement. Les premiers sont matriciels. Les autres sont essentiels à l’humain… mais pourtant peu conscientisés, et surtout peu soutenus par notre société : le besoin de sens, le besoin d’écoute, d’accueil, de présence, de vibration, de passion, d’énergie circulante.
Dans ce petit texte, je voulais partager une peur que j’ai rencontrée au détour de mes animations collectives, en particulier quand elles sont faites avec des personnes que je connais. Elle est fugace, profonde, rare… mais elle est surprenante et bel et bien présente dans ma structure de souffrance. C’est la peur d’être encensée puis bashée ensuite.