Kundalini & inconscient | Rencontre des parts gardiennes
Accepter de ressentir, c’est libérer nos parts inconscientes. Mais acceptons-nous de les libérer ? Que faisons-nous des parts gardiennes ?
La Piste est une démarche pour personnes sensibles, atypiques ou en souffrance afin de faire un petit bout de chemin ensemble vers soi. Ce petit bout de chemin, c’est un chemin de conscience, de guérison, et aussi de vibration car la guérison amène de l’espace pour vibrer, ce qui est très agréable. Une sorte de bonus. On peut appeler l’ensemble la quête de « Je suis », mais on pourrait aussi appeler ça répondre à un appel intérieur, ça marche aussi !
La guérison, ou le début de processus vers la vraie version de soi, ce que Jung appelle l’individuation, commence par une crise. Pas toujours confortable. Souvent vers la quarantaine mais pour les hypersensibles, c’est souvent depuis toujours, cachée sous des couches d’adaptation et de (tentative de) contrôle.
Notre soi n’aime pas le contrôle. Notre soi est sauvage, il aime vivre, être libre et surfer sur la vie. Après avoir encaissé et usé le capital pendant des années pour nous conformer, il se rappelle à nous et commence à nous générer des symptomes peu agréables que l’on peut vivre comme une malédiction, mais qui signent que maintenant, ça suffit : anxiété, dépression, sentiment d’aquoibon, procrastination, insomnies, cyclothymie, et avec l’ensemble, des inflammations et intolérances alimentaires qui peuvent s’ajouter… Car le corps aussi se rappelle à notre bon souvenir. La crise est le signe, il est temps d’entrer en processus !
Le processus, c’est quoi ? C’est commencer à s’occuper de soi, et à s’affranchir. Pas évident quand la carapace s’est installée depuis l’adolescence ou l’enfance, mais c’est ceux à quoi nous sommes invités. Pour cela, une arme de choix, l’énergie. L’énergie, celle des émotions qui nous libèrent quand elles s’expriment, qu’elles sortent. L’énergie de la Kundalini quand celle-ci, pour certains d’entre nous, s »éveille et manifeste dans le corps sa volonté de nous libérer, l’énergie de l’esprit, de notre conscience, quand les autres sont passées et laissent l’espace vacant et qu’une vision claire et un calme lumineux s’installe en soi, soudainement et incompréhensiblement…
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La quête de soi commence avec une crise ou un état de crise : un burn out, une maladie, un deuil, un harcèlement, un mal-être, quelque chose qui brise notre carapace et nous empêche de pousser l’adaptation e le contrôle comme nous le faisions (sans nous en rendre compte).
Quand le processus « libératoire » commence, nous sommes soudain confrontés par ce qui passait avant : nous ne supportons plus la société, notre travail, notre entourage, des aliments. Nous ne nous supportons plus nous-même parfois ! Ou une part en nous en tout cas ne supporte plus une autre… La carapace craque. L’énergie de l’Être, de la version exacte de soi veut passer, et si nous ne la soutenons pas, elle va nous embêter. Ce que je veux dire, c’est qu’il va falloir la soutenir… car elle nous ne laissera pas tranquille.
La Piste est basée à Rennes et Saint Germain sur Ille.
Sans émotions, il est impossible de transformer les ténèbres en lumière et l’apathie en mouvement. Jung
Dans notre civilisation, nous apprenons très tôt à refouler l’énergie. Celle des émotions, des intuitions, des envies, du désir, de ce qui fait sens pour nous. A force d’injonctions à ne pas ressentir ou à ne pas être « ainsi », ou de discréditer ce que nous percevons, nous apprenons à refouler ou contrôler. L’énergie vitale perd alors de la force au fil des années, et c’est ce qui nous différencie de l’état d’enfant et d’adulte : nous sommes moins vivants, moins animés, plus mentaux et plus en contrôle. Pour certains, cela est voulu et les protège. Pour d’autres ça ne fonctionne pas et les fait souffrir. C’est le cas des personnes hypersensibles, l’énergie est là mais bloquée, ce qui donne des états anxieux, compulsifs ou fébriles, et parfois des états up quand l’énergie passe d’un coup après avoir été trop contrainte…
La voie de l’énergie, c’est d’accepter de la laisser passer. Cela peut faire peur, mais quand elle passe, nous retrouvons derrière ce soi d’origine, spontané, puissant, autonome libre et en paix. Je suis. Mais, ça implique de soutenir notre processus !
La piste est une association qui a vocation à permettre à chaque personne d’accomplir son petit bout de chemin, sa quête existentielle, quels que soient ses revenus.
Comme j’en suis la fondatrice, je vais parler un peu de moi.
J’ai longtemps été hyperactive et hypersensible, pleine de pourquois et en grande frustration d’intensité. Je suis toujours dans cette sensibilité, mais contrairement à avant, une chose a changé. Chaque nœud que je rencontre me permet de libérer émotions et conscience. Conscience, c’est à dire me permet de comprendre pourquoi je vis une expérience, quels sont mes besoins derrière et quelle est ma vraie exigence intérieure (je savais même pas que ça existait…). Émotions, parce que chaque libération émotionnelle me permet de contacter un espace vibratoire et de clarté d’esprit intérieur que je n’avais jamais expérimenté avant. J’ai eu un éveil de Kundalini, et il m’a fallu quelques temps pour associer cette intensité dans mon processus avec la Kundalini. C’est fait.
Avant de comprendre et surtout de pratiquer pour ça, mon corps m’a parlé. J’ai eu des insomnies quotidiennes pendant 20 ans sans chercher autre chose que l’arrêt des symptômes à coup de chimie essentiellement. J’ai d’abord cru qu’il fallait faire taire mon corps. Ce n’était pas une bonne idée.
Quand je suis arrivée au bout de l’exercice, je n’ai plus eu d’autres issues qu’essayer autre chose. Il se trouvait que je ne croyais en rien. Je n’avais rien essayé, rien expérimenté, mais rien ne me semblait assez pour me sauver. Le désespoir m’a fait changer de camp. J’ai essayé par désespoir. Et ma vie a changé. Les insomnies n’étaient que le petit bout de l’iceberg.
Derrière l’hypersensibilité, il y a une grande intensité et une quête qu’on peut dire existentielle. Il y a un moi profond qui exige et qu’on peine à entendre (notre âme). Et une énergie qu’on ose à peine autoriser (la kundalini) mais qui se fraye quand même un chemin, provoquant dans cette rencontre avec notre résistance mentale inconsciente, de grands frottements Si on soutient l’énergie, si on cherche ce moi profond au lieu de le duire, si on accepte de laisser l’énergie circuler, alors notre vie change. C’est chaotique, sans aucun doute, confrontant parfois, mais les résultats sont là, visibles et ils augmentent.
Quand le processus intérieure s’accélère avec ce soutien à l’énergie, les contractions ne s’arrêtent pas. Mais elles sont plus courtes, plus expressives, et à chaque contraction, il y a un avant et un après. Car on se libère d’une part de la carapace. On se rapproche du vrai soi. Et il est beaucoup plus jouissif que notre personnage habituel. Qui fait le taf de la vie. Mais sans trop vibrer.
Alors, c’est mon invitation avec La Piste, faire ce chemin ensemble. Parce que ensemble, c’est plus fort, et ça marche mieux.
Accepter de ressentir, c’est libérer nos parts inconscientes. Mais acceptons-nous de les libérer ? Que faisons-nous des parts gardiennes ?
Dans ce programme, tu trouveras des explications sur la Kundalini, en particulier en cas d’éveil et de manifestations physiques, énergétiques, émotionnelles. Il y a beaucoup d’infos sur le net donc je ne détaillerai pas ce que c’est, même si quand même 🙂 La question principale ici, c’est que veut-elle et comment la soutenir ?
Qu’est ce que Je suis ? Je suis est la version exacte de soi. Puissant, autonome, libre, manifestant, créateur, jouissant. Je suis assure sa mère.
La rencontre entre moldu et bipolaire, schizophrène et autiste,
Comment j’ai vu ma mère en flagrant délit de toxicité avec moi, et comment j’ai réalisé que j’avais choisi d’y entrer pour ne pas voir sa faiblesse.
Le mental au service de l’égo est compensatoire. Il refuse les expériences et tente de compenser au lieu de libérer. Le sacripan.
Tout est juste.
L’univers nous prépare à être la personne qui va vivre ce à quoi nous aspirons. En cela, il nous fait passer par des expériences d’échecs, de difficultés, qui vont nous apprendre qui nous sommes et nous débarrasser de nos nœuds, de notre karma.
L’univers nous prépare à être la personne qui va vivre ce à quoi nous aspirons. En cela, il nous fait passer par des expériences d’échecs, de difficultés, qui vont nous apprendre qui nous sommes et nous débarrasser de nos nœuds, de notre karma.
Tout est juste.
L’univers nous prépare à être la personne qui va vivre ce à quoi nous aspirons. En cela, il nous fait passer par des expériences d’échecs, de difficultés, qui vont nous apprendre qui nous sommes et nous débarrasser de nos nœuds, de notre karma.
Dans cet article, je parle de comment ce que nous demandons aux autres et à la vie parle de ce que nous ne nous donnons pas à nous-même. Et comment nous cherchons compensation à l’extérieur à défaut de se donner à soi. Et c’est bien légitime, mais il y a une autre posture beaucoup plus efficace pour obtenir.
Il y a un an comme ça, j’ai réalisé que je demandais aux autres de combler mon manque d’abondance. Pas ouvertement mais dans ma posture intérieure. Donc dans l’énergie. Clairement, ma mère devait le ressentir quand nous discutions puisque elle se faisait un devoir de ne jamais y répondre.
Certaines situations, relations baissent notre fréquence vibratoire après un temps d’exposition. Ca peut être une relation de couple, de travail, une situation, un aliment, une substance. Quand la fréquence baisse, un plug énergétique se créé avec l’autre. ON est dépendant au plug énergétique. On est addict au poison qui nous soulage dans l’instant mais nous diminue dans la durée.
L’inflammation chronique du corps empêche l’énergie de circuler. Bizarrement, la bouffe y est pour beaucoup. D’ailleurs le jeûne est une pratique qu’on retrouve dans toutes les religions, et ce n’est pas un hasard. Dès qu’on jeûne, on connecte. Quand on est inflammé, on angoisse, on devient fébrile.
La matrice, c’est ce que véhicule l’inconscient collectif et l’ADN de notre société depuis des centaines d’années, voir des milliers d’année, et qui nous imbibe depuis l’enfance, à travers nos parents, l’école, notre environnement, nos interactions sociales. La matrice sociétale définit l’humain. Elle définit ce qu’est un humain : ses besoins, sa nature, et contribue…
Au détour d’un stage de tantra, puis d’un voyage chamanique, j’ai vu ma part masculine et ma part féminine interargir ensemble. C’était beau et édifiant. La part masculine mature avec la part féminine immature…. Plus tard, j’ai vécu l’inverse. j’ai entraperçu la part masculine immature, héritage de la lignée masculine dans ma famille, et la…
Ou comment on découvre que nous faisons des actes de résistance passive pour compenser le manque à défaut de le guérir et comment nous créons des relations systémiques ce faisant.
L’argent pour moi a longtemps été quelque chose dont je me foutais. Je n’y faisais pas attention. Quand je n’en avais pas, je pouvais facilement m’en foutre, et puis à d’autres moments, plonger dans une sorte de terreur du manque.
Dernièrement, en particulier en contactant mon Je suis (voir Cérémonies chamaniques 4 et 5), qui est ancré dans la matérialité, donc dans l’abondance, j’ai réalisé que ma fuite de l’argent était en lien avec une forme de mépris pour la matérialité.
L’argent est-il sale de sa matérialité ? Y a t-il un point d’équilibre entre refus et avidité sécuritaire ? Comment en jouer avec classe ? Clint Eastwood est la réponse.
Il m’a été proposé dernièrement de payer un montant conséquent et non négociable pour un accompagnement énergétique (moi qui adore négocier !!) mais de m’aider à actionner la loi d’attraction de l’abondance pour assurer le truc.
En clair, on m’a proposé de sortir de ma position de victime qui ne peut pas s’offrir un accompagnement pour la position de celle qui se détermine pour et fait se qu’il faut pour.
Autant dire que ça ma challengée grave. C’est ce dont je vais parler ici.
Dans cet article, je continue à relater mes expériences chamaniques et ce qui en ressort (voir 3 cérémonies chamaniques…). Ici, je raconte les deux dernières qui ont le même sujet : le mental et Je suis.
Premier voyage
Comme souvent, alors que les sensations commencent, il y a deux portes. Celle du lâcher-prise où l’abandon génère un profond bien-être, des visions lumineuses, des sensations chaudes et enveloppantes, une féérie.
Et l’autre porte, celle où le mental veut lui aussi participer et reprend le contrôle.
Le principal obstacle à l’oeuvre libératoire de la kundalini, c’est la résistance de notre mental, l’ampleur des blessures traumatiques émotionnelles et l’enkystement des canaux énergétiques dans notre corps physique : en d’autres termes, l’énergie qui passe mal.
Dans le 1er article, je parle des briques qui aident le processus libératoire de la Kundalini. Ici je les présente de façon plus détaillée.
J’ai suivi une formation sur la kundalini* en août. Moi qui croyais en avoir bien compris les éléments, j’ai réalisé que je n’avais pas saisi l’essentiel. Dans les jours qui ont suivi, j’ai réalisé que la kundalini était le point d’ancrage autour duquel je tournais depuis 5 ans en accompagnement et depuis 50 ans sans doute sur le plan personnel. Sans le savoir. Pourtant je dessinais le symbole de la kundalini depuis l’enfance de façon plus ou moins obsessionnelle. Pourtant toutes mes actions, mes pratiques, mes idées d’accompagnement depuis 5 ans n’étaient finalement liées à pour ça : lui permettre de faire son job. Mais j’avais zappé l’essentiel. C’est elle qui me guide. C’est elle qui fait le boulot de guérison…
Dans cet article, comment j’ai redécouvert la Kundalini, l’énergie vitale intérieure, au cours d’un stage, et son pouvoir de guérison, mais surtout son autonomie dans le voyage qu’elle propose pour nous ramener à notre vraie nature. Bref, comment une entité autonome œuvre en nous… si nous nous y abandonnons.
3 cérémonies chamaniques avec l’aide d’une plante, et les découverte subséquentes : nous sommes un, le mental est une pieuvre, l’amour est partout.
J’ai accompagné K. il y a quelques temps. K. est quelqu’un de très posée, clairvoyante et tolérante. Elle est sage. Mais en vérité, elle est souvent en effort parce qu’elle ravale. Elle ravale et ne se met pas en colère. Elle tient bon. Sa colère n’est pas palpable. Ce n’est pas comme la peur que…
Il y a quelques temps, après deux mois d’un étrange sentiment d’unité que je n’avais jamais connu, je me suis vue chuter. Une résistance s’est installée en moi, en quelques jours, une forme d’atonie d’abord, comme une non-sensibilité, puis ensuite une angoisse diffuse que je n’arrivais pas à libérer. Je m’installais pourtant chaque matin pour…
Nous avons des besoins. Il y a ceux que l’on croit devoir remplir pour être heureux. Et ceux qui nous nourrissent vraiment et durablement. Les premiers sont matriciels. Les autres sont essentiels à l’humain… mais pourtant peu conscientisés, et surtout peu soutenus par notre société : le besoin de sens, le besoin d’écoute, d’accueil, de présence, de vibration, de passion, d’énergie circulante.
Dans ce petit texte, je voulais partager une peur que j’ai rencontrée au détour de mes animations collectives, en particulier quand elles sont faites avec des personnes que je connais. Elle est fugace, profonde, rare… mais elle est surprenante et bel et bien présente dans ma structure de souffrance. C’est la peur d’être encensée puis bashée ensuite.
J’ai tenté d’accompagner un homme, il y a quelques temps, en grande difficulté physique et psychologique. Il ne dormait plus depuis 9 mois, il était sous antidépresseurs et benzodiazépines, et malgré les médicaments, malgré les somnifères, ses nuits se réduisaient à rien. Il était épuisé.
J’ai participé il y a quelques temps à une chantier participatif. En fin de matinée, après une discussion avec une personne, j’ai eu une attaque de panique. Une montée d’angoisse qui m’a fait contacter une part de moi que j’avais oubliée, ou plutôt que je subissais tellement quand elle montait, que je ne l’avais jamais observée. Je m’y identifiais totalement.
Se dissocier de la matrice Notre société nous apporte des bienfaits matériels concrets (assistance sociale, enseignement gratuit, revenu minimum, couverture sociale) mais l’essentiel lui échappe. La présence, la bienveillance, l’accueil, l’amour, le sens sont apportés non par un système étatique mais par une philosophie communautaire structurée que nous retrouvons chez les peuples premiers (voir le…
J’ai envie depuis longtemps de créer un groupe de personnes en quête de soi et d’alternative à la matrice. Pour vivre les choses un peu différemment, avec plus de conscience, plus de clarté, plus d’exactitude.
Un petit partage de réflexions suite à la conférence « l’hypersensibilité est-elle une manifestation d’humanité ou une fragilité ?« . [toc] Le postulat Notre civilisation crée notre mal-être. Nul besoin de tergiverser sur cette évidence (dont j’ai déjà beaucoup parlée). Elle ne nourrit pas nos besoins essentiels d’humains et nous fait tomber « malades » de nous-mêmes,…
Dans ce lieu, ce que tu es est pleinement accueilli. Tu sais que tu as du mental, qu’il va bouriner un peu, te raconter des histoires, te mettre en posture vis à vis des autres, mais c’est ok parce que quand tu viens, tu n’es pas dupe de ton mental.
Dans cet article, je parle de la douleur que cela peut être de ne pas être accueilli(e) quand on est en contraction, en tension émotionnelle, et comment cet écho de non accueil peut résonner tout au long de notre vie. Le non-accueil transforme ce qui relevait d’un état d’âme passager et nécessaire en mal-être exponentiel.…
Mon approche thérapeutique dans l’accompagnement individuel : pourquoi faire passer la libération énergétique ou émotionnelle par le conscient me paraît important, comment le mental doit s’écarter suffisamment pour ce faire, comment le sécuriser, et comment procèdent les différentes thérapies existantes ?
Pourquoi nous sentons-nous mal avec certaines personnes ? Comment savoir quand il y a une toxicité ? Qu’est ce qui se joue entre moi et l’autre ? Quoi en fair
L’expérience de la diète chamanique, le pouvoir de la plante diétée, de l’isolement, et la difficulté pour l’occidental à libérer ce qui doit être libéré tant que le mental n’a pas été désactivé par la présence et l’attention.
Le miracle du covoiturage, ou quels sont les ingrédients qui permettent ces conversations surprenants, fluides et souvent si nourrissantes ? Analyse de ce qui nous facilite l’interaction à l’autre, pour nous humains. Et surtout français.
Cet article est un article d’abord écrit sous le coup de l’émotion, comme souvent, puis repris plus tard, pour mettre un peu plus de conscience. En résumé, alors que je reviens d’un weekend en festival chamanique plutôt sympa, je me surprend à ressentir une bonne colère le lendemain. Le texte est cette mise à plat.…
Dans cette partie 2, je parle de cette nourriture relationnelle à laquelle on peut prendre tant de plaisir, qui est si rare parfois, de quand elle se donne et de quand elle se donne pas. Je parle en particulier de la double brique idéale pour que cette discussion « miraculeuse » ait lieu : la quête de vérité et l’écoute du ressenti, ce que l’on pourrait appeler le « crédit à la source intérieure ». Alors, à ce moment là, nous sommes en transe intérieure…
Une expérience de goûter collectif, un moment un peu malaisant, et quelques réflexions sur comment être bien ensemble.
Dans cet article, je parle d’un sujet totalement anecdotique : pourquoi il y a des lecteurs qui aiment me lire, et d’autres qui trouvent que ce que j’écris a une forme un peu prétentieuse. Je l’ai dit, c’est un sujet con, mais intéressant. Car à la fin, la question devient : y a-t-il vraiment un…
Quand le mental prend le pouvoir ; comment le reconnaître quand il est aux manettes et comment sortir de son champ énergétique aliment par le corps de souffrance.
L’appel intérieur est un appel d’exactitude avec soi et avec les autres. Une envie de transparence, de sortir de l’illusion, et d’être en connexion avec les autres de cette façon : pas en gérant une image mais en étant soi, pleinement, sans être dupe de nos parts intérieures qui demandent à se libérer. C’est l’idée d’un lieu de compagnonnage…
Comment les pratiques qui nous font monter en vibration empêchent de fait la libération émotionnelle ? Comment combiner les deux ?
Nous avons plusieurs parts en nous, et ces parts ont leurs propres histoires, leurs propres fantasmes, et leur blessure bien à elles. Elles s’activent quand une situation nous met en écho avec la blessure. Nous les refoulons ou nous identifions à elles. Et dans un cas comme dans l’autre, nous les subissons. Or, elles ne demandent qu’une chose : un espace d’expression.
Nous espérons pouvoir obtenir le juste bien. Être juste bien, avec les bons amis, le bon boulot, la bonne personne. Mais est-ce atteignable ? Et en face, il y a la quête d’exactitude avec soi. Beaucoup plus challengeante. Qui nous met face à nos peurs. Plus vibrante aussi. Qu’est ce qui nous arrête ?
Faut-il écouter nos ressentis ? Quand leur faire confiance ? Comment se manifestent-ils ? L’espace du ressenti est dans l’observation de la résistance. Car c’est son effet délétère que nous captons en premier.
La peur de soi, c’est la peur d’aller en soi : rencontrer le vide, s’effondrer, découvrir la noirceur. Les 3 sont ok. Le vide n’est que transitoire, l’effondrement n’aura pas lieu, et la noirceur n’est que la manifestation d’une tristesse non accueillie. Tout est parfait.
Oser être soi, c’est pouvoir dire non quand on le sent. Or nous sommes bourrés d’injonctions et de croyance vis à vis de nous et des autres qui nous font aller à contre-courant de l’énergie. Une seule rège prévaut : l’énergie doit circuler. C’est là où l’univers vous le rendra.
Oser être soi, c’est aussi accepter cette part en soi que l’on nie souvent, surtout quand on est hypersensible, qui n’est pas forcément sympa, qui peut gueuler, qui peut lâcher les nerfs, qui peut juger, mais qui parle, enfin, de nos limites !
Comment nous nous soumettons à l’implicite de l’autre, justement parce que c’est implicite, et parce que nous sommes en attente de l’autre. Comment se faisant, nous répétons un schéma déjà vécu dans l’enfance, comme une empreinte laissée en nous.
Offrir ses services à l’extérieur, c’est offrir une forme d’intensité qui nous confronte à nos peurs de ne pas être accueilli. Nous l’avons déjà vécu enfant, ou ado, et cette douleur là nécessite du temps pour nous confronter… puis passer. Avons-nous la patience d’en voir l’énergie se dissoudre ou exigeons-nous un résultat immédiat ? C’est le sujet de cet article.
Pourquoi on n’arrive pas à faire le pas et à vraiment travailler sur soi ? Parce qu’on attend que la situation nous amène ce à quoi on a droit. Au fond de nous, nous avons un profond sentiment d’injustice et l’exigence que ce qui nous manque devrait nous être donné : le sommeil, l’attention, la reconnaissance, le bonheur. Or ça ne marche pas comme ça.
Pourquoi sommes-nous hypersensible ? Comment entendre ce que raconte le moi profond ? La force de la présence est la première marche pour accéder à ce moi profond qui ne nous laissera pas tranquille tant qu’on ne l’écoute pas. L’égo, le mental est notre première ligne de front !
Dans cet article, je parle de notre besoin vibratoire, et ce que ça nous fait, quand l’énergie ne rencontre pas l’énergie. Adulte, et enfant. De la folie de cette frustration. Et de ce que l’on peut en faire.
L’action mécanique n’a qu’un effet à court terme. L’énergie de la vibration a une effet à long terme. La vibration s’installe dans le vide. La résolution d’une situation passe donc plus par le vide que par l’action. La voie est là.
Ou comment les situations récurrentes qui nous plombent ne sont pas tant amenées par la malchance (ça on le savait) mais par notre incapacité à leur dire non. Et comment cette incapacité se cristallise dans une émotion originelle non libérée.
En quoi notre posture vis à vis de nos expériences de vie nous empêche d’en tirer la substantifique moelle et de vivre la vie à laquelle on aspire…
La méditation peut faire le taf de libération, chaque jour. Mais il y a 3 ingrédients. : énergétique, compassion et patience.
La pratique méditative emmerde 80 % de la population, et c’est normal, il est impossible de s’immobiliser si on ne décode pas d’accueillir l’énergie intérieure en même temps. Il faut donc libérer l’énergie. Donc l’autoriser. Et c’est là que ça devient compliqué !!
Comment la pratique du mantra Nam Myo Ho Renge Kio a changé ma perception des choses et donc ma vie. Comment elle m’a amenée de la conscience.
Pourquoi le contrôle amène la souffrance ? Pourquoi contrôlons-nous ? Le malentendu d’origine entre nous et le monde et comment redonner à crédit à ce que dit notre intérieur.
Vendre moins que ce que l’on peut, ne pas affirmez sa valeur et le proposer à ceux qui n’en veulent pas ou ne sauront pas l’apprécier. La recette magique de l’entrepreneur hypersensible.
L’hypersensibilité n’est pas une nature. C’est une réaction à l’agression extérieure. Et l’extérieur est subi car on lui donne crédit. Regarder la réalité en face et enlevez votre crédit, votre hyper s’arrêtera. Vous resterez humain et cette fois, vous serez vivant.
Ne pas accorder crédit à nos perceptions, à nos ressentis, est extrêmement douloureux. Nous croyons avoir un problème, nous percevons juste quelque chose d’exact… que nous nous empressons de nier pour 10 000 bonnes raisons. Hélas, si nous sommes hypersensibles, la négation nous tue.
Comment le double bind permanent de notre société nous fait douter de notre ressenti depuis l’enfance et nous enlève notre pouvoir.
Les émotions sont la seule façon qu’a trouvé notre moi profond pour communiquer avec nous. Il est beaucoup moins rapide et réactif que le mental… mais beaucoup plus profond et intéressant. Hélas, c’est celui ci qu’on contrôle.
Nous sommes parfaits et nous l’ignorons. Nos difficultés, elles aussi, sont parfaites car elles nous invitent à contacter ce qui a fondé l’action d’origine. Bien souvent, c’est la peur. Parfois la tristesse. Souvent l’injonction. Alors, quand l’action ne nous satisfait pas ou ne tourne pas comme prévu, la question n’est pas l’autre ou la malédiction ou notre insuffisance. La question est : dans quelle énergie ai-je lancée cette action, si je suis vraiment honnête ?
Etes-vous un hypersensible dur ? Votre profil : fortes émotions, peu adapté, en réaction, une intelligence vive, mais un contrôle qui rend fou et isole. E manque de reconnaissance, en quête de vérité.
Celui qui voudrait que tout le monde s’aime mais qui s’efface pour survivre. Son enjeu : va t-il enfin pouvoir être lui-même un jour ?!
Pourquoi se met-on automatiquement au service de notre entreprise sans qu’il y ait de lien avec notre objectif personnel comme gagner plus ou s’épanouir ? Pourquoi ne questionne t-on pas les contraintes que l’on s’impose ?
Tu découvres ton hypersensibilité. Que vas-tu en faire ? Vas-tu plonger dans ton intérieur et entrer en quête de toi, ou continuer à survoler la vie sans la comprendre et souffrir ? Invitation.
Où est notre valeur ? Il est bien ardu de répondre à cette question car la valeur est à autant d’endroits sur terre qu’il y a de gens sur cette même terre.
Arrêter d’accuser l’extérieur, faire un pas de côté, et voir ce qui bloque en nous à l’intérieur. Car chaque difficulté nous parle de nous et de nos peurs.
Pourquoi nous prenons les difficultés de notre entreprise comme une remise en cause personnelle et comment sortir de la boucle ?
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