3 cérémonies chamaniques | L’unité, le mental et l’amour
3 cérémonies chamaniques avec l’aide d’une plante, et les découverte subséquentes : nous sommes un, le mental est une pieuvre, l’amour est partout.
La Piste est un espace de quête de soi qui vise à se libérer de la souffrance pour accéder à notre état naturel vibratoire. Cette quête nous mène à rechercher la vérité en nous et la vérité de la vie.
La vérité de la vie, c’est réaliser la matrice dans laquelle nous sommes imbibés depuis l’enfance, ses injonctions écrites dans notre inconscient et le manque dans lequel elle nous plonge structurellement. Plus nous voyons la réalité telle qu’elle est, plus nous nous en affranchissons. Et plus nous nous jouons les règles de la vie qui sont elles vibratoires et créatrices.
La vérité en nous, c’est réaliser les faux chemins, les fausses pistes, ce qui ne fait que compenser nos manques pour nous installer dans une course éternelle qui nous épuise ou nous oppresse. C’est aussi réaliser à quoi aspire notre âme, ce dont nous avons besoin pour nous sentir « être », ce qui nous nourrit vraiment, vibratoirement, et pas seulement mécaniquement.
Dans ce voyage vers notre vraie nature, nous faisons de notre énergie vitale, la kundalini, notre alliée. Nous la laissons faire ce qu’elle sait faire : libérer nos émotions, nos blessures, et nous reconnecter à notre puissance intérieure, infinie, pour redevenir ce que nous sommes vraiment : conscience et vibration.
Sans émotions, il est impossible de transformer les ténèbres en lumière et l’apathie en mouvement. Jung
Cette voie que je propose est celle des émotions et de l’énergie.
Quand les émotions refoulées par nos croyances (souvent injonctives ou jugeantes) atteignent un certain stade d’accumulation dans notre corps, notre état de fébrilité, d’angoisse ou de maladie ne peut guérir avec les succédanés habituels. Notre âme demande de l’aide.
Avec la libération de l’énergie des émotions refoulées, grâce à la kundalini, souvent très à l’œuvre chez les hypersensibles, vient un état de conscience et de vision plus claire qui nous permet de sortir des schémas répétitifs et d’éclaircir notre vibration.
Parfois nous pouvons opérer dans le sens inverse : c’est en apportant du sens à notre mental que les émotions se libèrent car la vérité soulage et autorise. Dans un sens comme dans l’autre, vient derrière viennent une énergie et une conscience nouvelles.
Mais, libérer ne suffit pas. Nous avons besoin de nous maintenir au jour le jour dans cet espace pour affaiblir l’emprise du mental et rester dans cette ouverture sensible qui nous permet de si bien libérer aux heures perdues. la pratique énergétique, méditative ouvre l’énergie dans le corps, l’état de conscience dans le cœur, et la connexion à plus grand que soi. Elle se met en place comme on peut, comme on sent, comme ça vient. Mais la garder en vue est un bon point !
Cette voie s’adresse à toute personne en recherche existentielle, mal-être, souffrance, burn-out, hypersensibilité… tous symptômes qui nous rappellent à notre vrai nature.
C’est donc une démarche pour qui ressent un appel intérieur et se sent prêt à affronter sa propre obscurité car :
Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Jung
La crise est un appel intérieur. Quand les émotions affleurent, que l’angoisse ou la fébrilité grandissent, quand l’impuissance nous saisit, nous recevons en vérité une invitation à aller explorer notre intérieur.
Soit nous répondons à l’invitation, soit nous l’ignorons. Et nous savons l’ignorer car c’est ce que nous avons fait pendant toute notre vie passée…
Pourtant, de ce simple regard vers l’intérieur découle la dissolution de nos symptômes…
Séances et retraites Libérer émotions & conscience : permettre l’expression de l’âme pour dissoudre angoisses, mal-être et blocages. La conscience soulage, et elle est d’une puissance insoupçonnable. Dans cette quête, la Kundalini est la force guérisseuse sur laquelle je m’appuie. Les seances individuelles
Le compagnonnage est une invitation à explorer, à deux ou à plusieurs, une méthode ou une pratique de libération énergétique ou de conscience (tantra, chamanisme, mantras, etc), de façon informelle et en équipe ! Ça peut également être un projet à deux, tout est possible. Compagnonnage.
Une 1/2 journée de pratique collective une fois par mois, pour mieux se connecter à soi, au vivant, et être plus en conscience avec notre vie. Cette 1/2 journée est ouverte à tous, en particulier ceux qui n’arrivent pas à méditer… mais aussi aux afficionados qui kiffent la connexion intérieure ! 1/2 journée de pratique.
La piste est une association qui a vocation à permettre à chaque personne d’accomplir son petit bout de chemin, sa quête existentielle, quels que soient ses revenus.
Comme j’en suis la fondatrice, je vais vous parler un peu de moi.
J’ai longtemps été hyperactive et hypersensible, pleine de pourquois et en grande frustration d’intensité. Je suis toujours dans cette sensibilité, mais contrairement à avant, une chose a changé. Chaque nœud que je rencontre me permet de libérer émotions et conscience. Conscience, c’est à dire me permet de comprendre pourquoi je vis une expérience, quels sont mes besoins derrière et quelle est ma vraie exigence intérieure (je savais même pas que ça existait…). Émotions, parce que chaque libération émotionnelle me permet de contacter un soulagement et un espace de paix et de clarté d’esprit que je n’avais jamais expérimentés avant.
Avant de comprendre et surtout de pratiquer pour ça, mon corps m’a parlé par des insomnies quotidiennes pendant 20 ans sans que je l’entende. J’ai d’abord cru qu’il fallait le faire taire. Ce n’était pas une bonne idée 🙂
Que dire d’autre ? Derrière l’hypersensibilité, il y a une grande intensité et une quête qu’on peut dire existentielle. Il y a un moi profond qui exige et qu’on peine à entendre. Et une énergie qu’on ose à peine autoriser. Si on s’aligne avec ce moi profond, si on accepte de laisser l’énergie circuler en soi, la vie devient beaucoup plus magique et intense. Plus fluide.
Ça n’arrête pas les contractions. Mais elles sont plus courtes, plus expressives, et plus productives de conscience et de libération. La vie quoi.
Alors, c’est mon invitation avec La Piste, faire ce chemin ensemble. Parce que ensemble, c’est nettement plus kiffant que tout seul…
3 cérémonies chamaniques avec l’aide d’une plante, et les découverte subséquentes : nous sommes un, le mental est une pieuvre, l’amour est partout.
J’ai accompagné K. dernièrement. K. est quelqu’un de très posée, clairvoyante, tolérante. Elle est sage. Mais en vérité, elle est souvent en effort parce qu’elle ravale. Elle ravale et elle ne se met pas en colère. Elle tient bon. Sa colère n’est pas palpable. Ce n’est pas comme la peur dans les yeux des zombies.…
Il y a quelques temps, après deux mois d’un étrange sentiment d’unité que je n’avais jamais connu, je me suis vue chuter. Une résistance s’est installée en moi, en quelques jours, une forme d’atonie d’abord, comme une non-sensibilité, puis ensuite une angoisse diffuse que je n’arrivais pas à libérer. Je m’installais pourtant chaque matin pour…
Nous avons des besoins. Il y a ceux que l’on croit devoir remplir pour être heureux. Et ceux qui nous nourrissent vraiment et durablement. Les premiers sont matriciels. Les autres sont essentiels à l’humain… mais pourtant peu conscientisés, et surtout peu soutenus par notre société : le besoin de sens, le besoin d’écoute, d’accueil, de présence, de vibration, de passion, d’énergie circulante.
Dans ce petit texte, je voulais partager une peur que j’ai rencontrée au détour de mes animations collectives, en particulier quand elles sont faites avec des personnes que je connais. Elle est fugace, profonde, rare… mais elle est surprenante et bel et bien présente dans ma structure de souffrance. C’est la peur d’être encensée puis bashée ensuite.
J’ai tenté d’accompagner un homme, il y a quelques temps, en grande difficulté physique et psychologique. Il ne dormait plus depuis 9 mois, il était sous antidépresseurs et benzodiazépines, et malgré les médicaments, malgré les somnifères, ses nuits se réduisaient à rien. Il était épuisé.
J’ai participé il y a quelques temps à une chantier participatif. En fin de matinée, après une discussion avec une personne, j’ai eu une attaque de panique. Une montée d’angoisse qui m’a fait contacter une part de moi que j’avais oubliée, ou plutôt que je subissais tellement quand elle montait, que je ne l’avais jamais observée. Je m’y identifiais totalement.
J’ai envie depuis longtemps de créer un groupe de personnes en quête de soi et d’alternative à la matrice. Pour vivre les choses un peu différemment, avec plus de conscience, plus de clarté, plus d’exactitude.
Un petit partage de réflexions suite à la conférence « l’hypersensibilité est-elle une manifestation d’humanité ou une fragilité ?« . [toc] Le postulat Notre civilisation crée notre mal-être. Nul besoin de tergiverser sur cette évidence (dont j’ai déjà beaucoup parlée). Elle ne nourrit pas nos besoins essentiels d’humains et nous fait tomber « malades » de nous-mêmes,…
Dans ce lieu, ce que tu es est pleinement accueilli. Tu sais que tu as du mental, qu’il va bouriner un peu, te raconter des histoires, te mettre en posture vis à vis des autres, mais c’est ok parce que quand tu viens, tu n’es pas dupe de ton mental.
Dans cet article, je parle de la douleur que cela peut être de ne pas être accueilli(e) quand on est en contraction, en tension émotionnelle, et comment cet écho de non accueil peut résonner tout au long de notre vie. Le non-accueil transforme ce qui relevait d’un état d’âme passager et nécessaire en mal-être exponentiel.…
Mon approche thérapeutique dans l’accompagnement individuel : pourquoi faire passer la libération énergétique ou émotionnelle par le conscient me paraît important, comment le mental doit s’écarter suffisamment pour ce faire, comment le sécuriser, et comment procèdent les différentes thérapies existantes ?
Pourquoi nous sentons-nous mal avec certaines personnes ? Comment savoir quand il y a une toxicité ? Qu’est ce qui se joue entre moi et l’autre ? Quoi en fair
L’expérience de la diète chamanique, le pouvoir de la plante diétée, de l’isolement, et la difficulté pour l’occidental à libérer ce qui doit être libéré tant que le mental n’a pas été désactivé par la présence et l’attention.
Le miracle du covoiturage, ou quels sont les ingrédients qui permettent ces conversations surprenants, fluides et souvent si nourrissantes ? Analyse de ce qui nous facilite l’interaction à l’autre, pour nous humains. Et surtout français.
Cet article est un article d’abord écrit sous le coup de l’émotion, comme souvent, puis repris plus tard, pour mettre un peu plus de conscience. En résumé, alors que je reviens d’un weekend en festival chamanique plutôt sympa, je me surprend à ressentir une bonne colère le lendemain. Le texte est cette mise à plat.…
Dans cette partie 2, je parle de cette nourriture relationnelle à laquelle on peut prendre tant de plaisir, qui est si rare parfois, de quand elle se donne et de quand elle se donne pas. Je parle en particulier de la double brique idéale pour que cette discussion « miraculeuse » ait lieu : la quête de vérité et l’écoute du ressenti, ce que l’on pourrait appeler le « crédit à la source intérieure ». Alors, à ce moment là, nous sommes en transe intérieure…
Une expérience de goûter collectif, un moment un peu malaisant, et quelques réflexions sur comment être bien ensemble.
Dans cet article, je parle d’un sujet totalement anecdotique : pourquoi il y a des lecteurs qui aiment me lire, et d’autres qui trouvent que ce que j’écris a une forme un peu prétentieuse. Je l’ai dit, c’est un sujet con, mais intéressant. Car à la fin, la question devient : y a-t-il vraiment un…
Quand le mental prend le pouvoir ; comment le reconnaître quand il est aux manettes et comment sortir de son champ énergétique aliment par le corps de souffrance.
L’appel intérieur est un appel d’exactitude avec soi et avec les autres. Une envie de transparence, de sortir de l’illusion, et d’être en connexion avec les autres de cette façon : pas en gérant une image mais en étant soi, pleinement, sans être dupe de nos parts intérieures qui demandent à se libérer. C’est l’idée d’un lieu de compagnonnage…
Comment les pratiques qui nous font monter en vibration empêchent de fait la libération émotionnelle ? Comment combiner les deux ?
Nous avons plusieurs parts en nous, et ces parts ont leurs propres histoires, leurs propres fantasmes, et leur blessure bien à elles. Elles s’activent quand une situation nous met en écho avec la blessure. Nous les refoulons ou nous identifions à elles. Et dans un cas comme dans l’autre, nous les subissons. Or, elles ne demandent qu’une chose : un espace d’expression.
Nous espérons pouvoir obtenir le juste bien. Être juste bien, avec les bons amis, le bon boulot, la bonne personne. Mais est-ce atteignable ? Et en face, il y a la quête d’exactitude avec soi. Beaucoup plus challengeante. Qui nous met face à nos peurs. Plus vibrante aussi. Qu’est ce qui nous arrête ?
Faut-il écouter nos ressentis ? Quand leur faire confiance ? Comment se manifestent-ils ? L’espace du ressenti est dans l’observation de la résistance. Car c’est son effet délétère que nous captons en premier.
Ne pas accorder crédit à nos perceptions, à nos ressentis, est extrêmement douloureux. Nous croyons avoir un problème, nous percevons juste quelque chose d’exact… que nous nous empressons de nier pour 10 000 bonnes raisons. Hélas, si nous sommes hypersensibles, la négation nous tue.
La peur de soi, c’est la peur d’aller en soi : rencontrer le vide, s’effondrer, découvrir la noirceur. Les 3 sont ok. Le vide n’est que transitoire, l’effondrement n’aura pas lieu, et la noirceur n’est que la manifestation d’une tristesse non accueillie. Tout est parfait.
Oser être soi, c’est pouvoir dire non quand on le sent. Or nous sommes bourrés d’injonctions et de croyance vis à vis de nous et des autres qui nous font aller à contre-courant de l’énergie. Une seule rège prévaut : l’énergie doit circuler. C’est là où l’univers vous le rendra.
Oser être soi, c’est aussi accepter cette part en soi que l’on nie souvent, surtout quand on est hypersensible, qui n’est pas forcément sympa, qui peut gueuler, qui peut lâcher les nerfs, qui peut juger, mais qui parle, enfin, de nos limites !
Comment nous nous soumettons à l’implicite de l’autre, justement parce que c’est implicite, et parce que nous sommes en attente de l’autre. Comment se faisant, nous répétons un schéma déjà vécu dans l’enfance, comme une empreinte laissée en nous.
Offrir ses services à l’extérieur, c’est offrir une forme d’intensité qui nous confronte à nos peurs de ne pas être accueilli. Nous l’avons déjà vécu enfant, ou ado, et cette douleur là nécessite du temps pour nous confronter… puis passer. Avons-nous la patience d’en voir l’énergie se dissoudre ou exigeons-nous un résultat immédiat ? C’est le sujet de cet article.
Pourquoi on n’arrive pas à faire le pas et à vraiment travailler sur soi ? Parce qu’on attend que la situation nous amène ce à quoi on a droit. Au fond de nous, nous avons un profond sentiment d’injustice et l’exigence que ce qui nous manque devrait nous être donné : le sommeil, l’attention, la reconnaissance, le bonheur. Or ça ne marche pas comme ça.
Pourquoi sommes-nous hypersensible ? Comment entendre ce que raconte le moi profond ? La force de la présence est la première marche pour accéder à ce moi profond qui ne nous laissera pas tranquille tant qu’on ne l’écoute pas. L’égo, le mental est notre première ligne de front !
Dans cet article, je vous parle de ce que ça nous fait, quand l’énergie ne rencontre pas l’énergie. Adulte, et enfant. De la folie de cette frustration. Et de ce que l’on peut en faire.
L’action mécanique n’a qu’un effet à court terme. L’énergie de la vibration a une effet à long terme. La vibration s’installe dans le vide. La résolution d’une situation passe donc plus par le vide que par l’action. La voie est là.
Ou comment les situations récurrentes qui nous plombent ne sont pas tant amenées par la malchance (ça on le savait) mais par notre incapacité à leur dire non. Et comment cette incapacité se cristallise dans une émotion originelle non libérée.
Dans cet article, je vous propose de comprendre pourquoi notre posture vis à vis de nos expériences de vie nous empêche d’en tirer la substantifique moelle et de vivre la vie à laquelle on aspire.
La méditation peut faire le taf de libération, chaque jour. Mais il y a 3 ingrédients. : énergétique, compassion et patience.
La pratique méditative emmerde 80 % de la population, et c’est normal, il est impossible de s’immobiliser si on ne décode pas d’accueillir l’énergie intérieure en même temps. Il faut donc libérer l’énergie. Donc l’autoriser. Et c’est là que ça devient compliqué !!
Comment la pratique du mantra Nam Myo Ho Renge Kio a changé ma perception des choses et donc ma vie. Comment elle m’a amenée de la conscience.
Pourquoi le contrôle amène la souffrance ? Pourquoi contrôlons-nous ? Le malentendu d’origine entre nous et le monde et comment redonner à crédit à ce que dit notre intérieur.
Vendre moins que ce que l’on peut, ne pas affirmez sa valeur et le proposer à ceux qui n’en veulent pas ou ne sauront pas l’apprécier. La recette magique de l’entrepreneur hypersensible.
L’hypersensibilité n’est pas une nature. C’est une réaction à l’agression extérieure. Et l’extérieur est subi car on lui donne crédit. Regarder la réalité en face et enlevez votre crédit, votre hyper s’arrêtera. Vous resterez humain et cette fois, vous serez vivant.
Comment le double bind permanent de notre société nous fait douter de notre ressenti depuis l’enfance et nous enlève notre pouvoir.
Les émotions sont la seule façon qu’a trouvé notre moi profond pour communiquer avec nous. Il est beaucoup moins rapide et réactif que le mental… mais beaucoup plus profond et intéressant. Hélas, c’est celui ci qu’on contrôle.
Nous sommes parfaits et nous l’ignorons. Nos difficultés, elles aussi, sont parfaites car elles nous invitent à contacter ce qui a fondé l’action d’origine. Bien souvent, c’est la peur. Parfois la tristesse. Souvent l’injonction. Alors, quand l’action ne nous satisfait pas ou ne tourne pas comme prévu, la question n’est pas l’autre ou la malédiction ou notre insuffisance. La question est : dans quelle énergie ai-je lancée cette action, si je suis vraiment honnête ?
Etes-vous un hypersensible dur ? Votre profil : fortes émotions, peu adapté, en réaction, une intelligence vive, mais un contrôle qui rend fou et isole. E manque de reconnaissance, en quête de vérité.
Celui qui voudrait que tout le monde s’aime mais qui s’efface pour survivre. Son enjeu : va t-il enfin pouvoir être lui-même un jour ?!
Pourquoi se met-on automatiquement au service de notre entreprise sans qu’il y ait de lien avec notre objectif personnel comme gagner plus ou s’épanouir ? Pourquoi ne questionne t-on pas les contraintes que l’on s’impose ?
Tu découvres ton hypersensibilité. Que vas-tu en faire à présent ? Vas-tu plonger dans ton intérieur ou vas-tu continuer à survoler la vie sans comprendre ?
Où est notre valeur ? Il est bien ardu de répondre à cette question car la valeur est à autant d’endroits sur terre qu’il y a de gens sur cette même terre.
Arrêter d’accuser l’extérieur, faire un pas de côté, et voir ce qui bloque en nous à l’intérieur. Car chaque difficulté nous parle de nous et de nos peurs.
Pourquoi nous prenons les difficultés de notre entreprise comme une remise en cause personnelle et comment sortir de la boucle ?
Quand on est indépendant, après quelques mois d’activités, si ce n’est dès le début, on peut rapidement être débordé par toutes les tâches à mener de front. La question est de savoir comment s’organiser pour que cette activité reste un plaisir et non une course permanente.
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